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Posté 12 avril 2009 - 07:51
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Posté 12 avril 2009 - 08:08
Merci à toi. J'aime aussi ce tableau de Renoir.bon, j'ai bien aimé la peinture et encore merci pour le poème
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Posté 12 avril 2009 - 08:45
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Posté 12 avril 2009 - 08:55
Merci à toi. Au plaisir de te lire.Un poème calme, tout en douceur.
Merci pour ce magnifique portrait, ton choix d'illustrations est toujours agréable.
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Posté 12 avril 2009 - 09:02
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Posté 12 avril 2009 - 09:06
Tu veux dire qu'on n'emploie pas ce mot?Chataine, quand j'ai lu le poëme pour la 1ere fois, j'ai consulté le dico pour voir si ce mot existait ...
En fait, c'est juste le feminin de chatain ... un terme en soit assez banal.
Amusant.
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Posté 12 avril 2009 - 09:11
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Posté 12 avril 2009 - 09:13
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Posté 12 avril 2009 - 09:15
Je ne savais pas que ce mot peut ne pas être modifié comme mignon par exemple qui reste toujours invariable. Pourtant dans les dictionnaires il y a la forme féminine de ce mot, donc c'est de la norme..En tous cas, que moi, je ne l'aurais jamais employé; je dirais par exemple et instinctivement une robe chatain, ou a la limite chataigne - comme le fruit dont viens le mot.
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Posté 12 avril 2009 - 09:27
Comme je l'ai déjà dit, je l'ai trouvé dans un dictionnaire et je ne l'ai pas inventé mais tu as raison qu'on peut inventer dans la poésie. Merci de laDe toute façon on peut bien inventer des mots; c' est ça aussi la poèsie !
@mitiès
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Posté 12 avril 2009 - 09:53
Invité_Gallaumar_*
Posté 12 avril 2009 - 11:50
Et Ronsard était un sacré queutard!Justement, chère, je sous-entendais qu'en tant qu'étrangère vous aviez la chance de mieux parler la langue que moi ...
Enfin dans certains cas quoi
Ce que je veux dire, c'est qu'on a un instinct du son qui parfois nous fait employé de mauvaise tournure ...
Mignon ?
Mignonne, allons voir si la rose
Qui ce matin avoit desclose
Sa robe de pourpre au Soleil,
A point perdu ceste vesprée
Les plis de sa robe pourprée,
Et son teint au vostre pareil.
Las ! voyez comme en peu d'espace,
Mignonne, elle a dessus la place
Las ! las ses beautez laissé cheoir !
Ô vrayment marastre Nature,
Puis qu'une telle fleur ne dure
Que du matin jusques au soir !
Donc, si vous me croyez, mignonne,
Tandis que vostre âge fleuronne
En sa plus verte nouveauté,
Cueillez, cueillez vostre jeunesse :
Comme à ceste fleur la vieillesse
Fera ternir vostre beauté.
version moderne:
Mignonne, allons voir si la rose
Qui ce matin avait éclose
Sa robe de pourpre au Soleil,
A point perdu cette vesprée
Les plis de sa robe pourprée,
Et son teint au vôtre pareil.
Las ! voyez comme en peu d'espace,
Mignonne, elle a dessus la place
Las ! las ses beautés laissé choir !
Ô vraiment marâtre Nature,
Puis qu'une telle fleur ne dure
Que du matin jusques au soir !
Donc, si vous me croyez, mignonne,
Tandis que votre âge fleuronne
En sa plus verte nouveauté,
Cueillez, cueillez votre jeunesse :
Comme à cette fleur la vieillesse
Fera ternir votre beauté.
(c'est de Ronsard XVIe siecle : naissance de la poesie telle que nous la connaissons aujourd'hui)
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Posté 13 avril 2009 - 04:16
lol non pas mignon, j'ai voulu dire marron...Justement, chère, je sous-entendais qu'en tant qu'étrangère vous aviez la chance de mieux parler la langue que moi ...
Enfin dans certains cas quoi
Ce que je veux dire, c'est qu'on a un instinct du son qui parfois nous fait employé de mauvaise tournure ...
Mignon ?
Mignonne, allons voir si la rose
Qui ce matin avoit desclose
Sa robe de pourpre au Soleil,
A point perdu ceste vesprée
Les plis de sa robe pourprée,
Et son teint au vostre pareil.
Las ! voyez comme en peu d'espace,
Mignonne, elle a dessus la place
Las ! las ses beautez laissé cheoir !
Ô vrayment marastre Nature,
Puis qu'une telle fleur ne dure
Que du matin jusques au soir !
Donc, si vous me croyez, mignonne,
Tandis que vostre âge fleuronne
En sa plus verte nouveauté,
Cueillez, cueillez vostre jeunesse :
Comme à ceste fleur la vieillesse
Fera ternir vostre beauté.
version moderne:
Mignonne, allons voir si la rose
Qui ce matin avait éclose
Sa robe de pourpre au Soleil,
A point perdu cette vesprée
Les plis de sa robe pourprée,
Et son teint au vôtre pareil.
Las ! voyez comme en peu d'espace,
Mignonne, elle a dessus la place
Las ! las ses beautés laissé choir !
Ô vraiment marâtre Nature,
Puis qu'une telle fleur ne dure
Que du matin jusques au soir !
Donc, si vous me croyez, mignonne,
Tandis que votre âge fleuronne
En sa plus verte nouveauté,
Cueillez, cueillez votre jeunesse :
Comme à cette fleur la vieillesse
Fera ternir votre beauté.
(c'est de Ronsard XVIe siecle : naissance de la poesie telle que nous la connaissons aujourd'hui)
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Posté 13 avril 2009 - 10:49
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Posté 13 avril 2009 - 04:38
Merci à toi, chère Clari.Poème et tableau font un bel ensemble, Hirondelle!
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Posté 13 avril 2009 - 06:48
L'hiver s'endort
Sans espace mort
Où les dentelles
Des fleurs frêles
Fleurissent dans la main
Cette peau du jasmin
D'une femme hautaine
A l'âme chataine
Comme la soie des cheveux
Qu'elle effleure sans feu
Par le bleu des habits
Portés d'elle sans soucis
Pour marquer les sens
Cette indifférence
De son visage
Sans peur, sans rage.
Tlpsien +++
Posté 13 avril 2009 - 07:10
Merci pour ces mots touchants... En fait quand j'ai publié ce poème, j'ai pas vu ton poème sur la dame qui m'a beaucoup plu.Un poème tout en bleu,tes mots sont toujours si beaux,une douceur deferle de leurs lettres dont toi seule connait la magie,toujours un intense plaisir à te lire petite hirondelle
Angel
