
Ta rue est mon jardin
#1
Posté 20 avril 2009 - 08:53
Où le temps déambule éphémère et perdu,
Où disparait soudain un peu désordonné
Comme un doux préambule à l'amour attendu.
Le jour en robe blanche ouvert à mes désirs
Déroule un long ruban bleui de l' impatience
De te voir un dimanche - aurai-je ce plaisir ?
Assise sur le banc des heures d'insouciance.
J'ai parcouru cent fois l'allée des souvenirs,
Recomposé pour toi des bouquets d'avenir
Dans l'espoir qu'aujourd'hui enfin tu m'apparaisses,
Mais cette rue se vide et le temps incertain
Fait au ciel impavide un espoir trop lointain
Que mon corps soit conduit au creux de tes caresses.
#2
Posté 20 avril 2009 - 09:02
Ta rue est mon jardin d' Éden abandonné
Où le temps déambule éphémère et perdu,
Où disparait soudain un peu désordonné
Comme un doux préambule à l'amour attendu.
Le jour en robe blanche ouvert à mes désirs
Déroule un long ruban bleui de l' impatience
De te voir un dimanche - aurais-je ce plaisir ?
Assise sur le banc des heures d'insouciance.
J'ai parcouru cent fois l'allée des souvenirs,
Recomposé pour toi des bouquets d'avenir
Dans l'espoir qu'aujourd'hui enfin tu m'apparaisses,
Mais cette rue se vide et le temps incertain
Fait au ciel impavide un espoir trop lointain
Que mon corps soit conduit au creux de tes caresses.
Oh Emrys voilà que vous me faites perdre la raison

j'ai lu plusieurs fois ce si beau poème
dont les mots s'inscrivent déjà en écho ...
j'attendais avec impatience
que votre plume laisse s"écouler
la musique vibrante de votre cœur...
ma patience a eu raison...
merci pour ce si beau talent
Théo
#3
Posté 20 avril 2009 - 09:08
#4
Posté 20 avril 2009 - 09:09
Une douce mélodie..
qui valse entre tes vers
d'espoir....de caresses ....
de nostalgie...
Des mots de vie
tout simplement
beau.....
merci pour ce doux partage
Amitiés
Estelle
#5
Posté 20 avril 2009 - 09:11
Ta rue est mon jardin d' Éden abandonné
Où le temps déambule éphémère et perdu,
Où disparait soudain un peu désordonné
Comme un doux préambule à l'amour attendu.
Le jour en robe blanche ouvert à mes désirs
Déroule un long ruban bleui de l' impatience
De te voir un dimanche - aurai-je ce plaisir ?
Assise sur le banc des heures d'insouciance.
J'ai parcouru cent fois l'allée des souvenirs,
Recomposé pour toi des bouquets d'avenir
Dans l'espoir qu'aujourd'hui enfin tu m'apparaisses,
Mais cette rue se vide et le temps incertain
Fait au ciel impavide un espoir trop lointain
Que mon corps soit conduit au creux de tes caresses.
Bonjour Emrys. Très jolie sonnet que tu nous offres là . Tu nous emmènes sur les trois derniers vers de façon magnifique.
"Que mon corps soit conduit aux creux de tes caresses" Ô que j'aime !
Bien à toi
Richard
#6
Posté 20 avril 2009 - 09:26
Bonjour Emrys. Très jolie sonnet que tu nous offres là . Tu nous emmènes sur les trois derniers vers de façon magnifique.
"Que mon corps soit conduit aux creux de tes caresses" Ô que j'aime !
Bien à toi
Richard
oui Richard vous avez raison de souligner ce dernier vers..
Emrys il y de la magie chez vous ...
quelque fois...quand vous le voulez...

#7
Posté 20 avril 2009 - 11:35
une musique, un air, signifie son désir d'être exprimé
j'ai pensé notes et les mots sont venus
Amitiés
Emrys
#8
Posté 20 avril 2009 - 01:01
Musique nostalgique en espoir évoqué
Délicat assemblage irisé de douceur ...
Et quelles harmonieuses sonorités, en particulier dans les deux premiers vers :
"Ta rue est mon jardin d' Éden abandonné
Où le temps déambule éphémère et perdu ..."
Une bien belle expression, Emrys ...![]()
Semha
musique nostalgique des mots, chère Semha
peut-être ai-je pensé à cette ballade ...

#9
Posté 20 avril 2009 - 01:07
Dans cette rue en friche occupée à nourrir,
Au coeur de vos pensées, le pistil du désir,
Le bleu de son pétale et l'âme, abandonnée.
Que j'aime ce ciel impavide...
balila
#10
Posté 20 avril 2009 - 02:07
Il est presque apaisant de vous accompagner
Dans cette rue en friche occupée à nourrir,
Au cœur de vos pensées, le pistil du désir,
Le bleu de son pétale et l'âme, abandonnée.
Que j'aime ce ciel impavide...
balila
Balila

Merci pour ces beaux vers
Qui sont plus qu'un écho
Aux thèmes musicaux
De mon jardin d'hiver
#11
Posté 20 avril 2009 - 02:28
#12
Posté 20 avril 2009 - 03:41
Je me suis laissée bercée et ce dernier vers...
sourire
par un ange peut-être ?
j'ai un temps habité Lyon non loin de cette rue
http://farm4.static...._48ba160ba4.jpg
#13
Invité_laurencia_*
Posté 20 avril 2009 - 05:21
à ces vers, à ce jardin...
je m'accorde de les prendre
en otage....
Laurencia vous félicite, Emrys.
#14
Posté 20 avril 2009 - 06:47
Un petit passage par ici ;chez toi.J'ai aimé comtempler ce regard.Un poème,une ballade,un tableau.Par cette alchimie j'ai aperçu une couleur invisible et sans nom que l'on nome poesie.
Alors Merci!
Kim
#15
Posté 20 avril 2009 - 07:38
Respect, mon capitaine!
#16
Posté 20 avril 2009 - 08:10
Où le temps déambule éphémère et perdu,
Où disparait soudain un peu désordonné
Comme un doux préambule à l'amour attendu.
Le jour en robe blanche ouvert à mes désirs
Déroule un long ruban bleui de l' impatience
De te voir un dimanche - aurai-je ce plaisir ?
Assise sur le banc des heures d'insouciance.
J'ai parcouru cent fois l'allée des souvenirs,
Recomposé pour toi des bouquets d'avenir
Dans l'espoir qu'aujourd'hui enfin tu m'apparaisses,
Mais cette rue se vide et le temps incertain
Fait au ciel impavide un espoir trop lointain
Que mon corps soit conduit au creux de tes caresses.
Bonsoir Emrys
Merci pour ce ruisseau qui coule en roucoulant
#17
Posté 20 avril 2009 - 09:19
Ta rue est mon jardin d' Éden abandonné
Où le temps déambule éphémère et perdu,
Où disparait soudain un peu désordonné
Comme un doux préambule à l'amour attendu.
Le jour en robe blanche ouvert à mes désirs
Déroule un long ruban bleui de l' impatience
De te voir un dimanche - aurai-je ce plaisir ?
Assise sur le banc des heures d'insouciance.
J'ai parcouru cent fois l'allée des souvenirs,
Recomposé pour toi des bouquets d'avenir
Dans l'espoir qu'aujourd'hui enfin tu m'apparaisses,
Mais cette rue se vide et le temps incertain
Fait au ciel impavide un espoir trop lointain
Que mon corps soit conduit au creux de tes caresses.
Bonsoir Emrys
J'aime l'atmosphère que tu as insufflé à ton texte. Une mélancolie accessible à celui qui parcourt ces mêmes allées . Merci l'ami beau partage.

#18
Posté 20 avril 2009 - 10:21
on ne peut être insensible
à ces vers, à ce jardin...
je m'accorde de les prendre
en otage....
Laurencia vous félicite, Emrys.
merci laurencia d'apprécier ces vers

(la rançon se monte à combien pour les libérer ?

Emrys *poète pauvre*

Bonjour Emrys
Un petit passage par ici ;chez toi.J'ai aimé contempler ce regard.Un poème,une ballade,un tableau.Par cette alchimie j'ai aperçu une couleur invisible et sans nom que l'on nomme poésie.
Alors Merci!
Kim
Bonjour Kim

crois bien que tes mots me touchent et m'encouragent à poursuivre ici le chemin des rimes
Amitiés
C'est du beau, du grand, de l'authentique Emrys.
Respect, mon capitaine!
Oh Aksel, je suis sensible à ces compliments, venant de toi, c'est un honneur
Amitiés
Bonsoir Emrys
Merci pour ce ruisseau qui coule en roucoulant
merci surtout à toi d'être passé lire cher Siky
Amicalement
Bonsoir Emrys
J'aime l'atmosphère que tu as insufflé à ton texte. Une mélancolie accessible à celui qui parcourt ces mêmes allées . Merci l'ami beau partage.
Pierre James
le partage procure plaisir lorsqu'il est apprécié cher Pierre James

Merci encore
Amitiés
#19
Posté 20 avril 2009 - 10:21
et merci pour cette mélodie mélancolique, qui touche au coeur!
#20
Posté 20 avril 2009 - 10:30
emrys, bon soir,
et merci pour cette mélodie mélancolique, qui touche au coeur!
olivier HEBERT, bon jour

merci surtout à toi de t'être arrêté et d'avoir entendu mon air de musique
Bonne soirée
E.