J’ai tant prié, pour la chasser, avec allégresse ;
Mais je ne me soupçonnais pas avec autant de faiblesses.
Je me suis enfoncée dans la paresse ;
Je n’ai pas vu ma jeunesse ; mais j’ai ressenti ma détresse.
Et tous les jours je me vois grandir en sagesse.
Tout ce qui m’anime n’est que futiles désirs ;
Mais rien ne m’assure qu’il y aura du plaisir.
Je perçois au loin mon avenir ;
Des événements trépidants sonnent le cor.
Chacun de mes instants rêvent d’or.
Hélas, je n’ai pu dépasser mon sort ;
Car tout ce qui est charnel est danger de mort.
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Modifié par forte reste alerte, 08 mars 2011 - 06:31 .