RIEN QUE POUR VOS YEUX
vos yeux mesdames,
comparables à des caresses,
nous frôlent, et puis nous
laissent,
comme une impression de
douceurs!
il y a dans ces regards,
que l'on croise au hasard,
des lueurs d'amours,
ou d'appels aux secours.
vos yeux sont des miroirs,
les reflets de vos âmes,
une source d'histoires,
coulantes comme des larmes.
gouttes de joies,
qui glissent sur la soie,
ou bien de désespoirs,
mourantes sur vos
mouchoirs.
ces linceuls de peines,
et de chagrins d'amour,
votre coeur les imprègne,
de tous ces maux si lourds.
je veux les consoler,
avec des mots légers,
un poéme gracieux,
pour que sèchent vos yeux.
O.HEBERT
vos yeux mesdames,
comparables à des caresses,
nous frôlent, et puis nous
laissent,
comme une impression de
douceurs!
il y a dans ces regards,
que l'on croise au hasard,
des lueurs d'amours,
ou d'appels aux secours.
vos yeux sont des miroirs,
les reflets de vos âmes,
une source d'histoires,
coulantes comme des larmes.
gouttes de joies,
qui glissent sur la soie,
ou bien de désespoirs,
mourantes sur vos
mouchoirs.
ces linceuls de peines,
et de chagrins d'amour,
votre coeur les imprègne,
de tous ces maux si lourds.
je veux les consoler,
avec des mots légers,
un poéme gracieux,
pour que sèchent vos yeux.
O.HEBERT
