Le vent dans ta chevelure,
susurre les mots inavoués,
cédés aux alizés.
L'air navigue dans ton voile,
alourdit de nos pensées.
Tu écoutes imperturbable,
nos secrets soufflés aux temps.
Et tu flânes au pré des souvenirs,
ou tu t'arrêtes et tu divagues.
Tu hésites à cueillir,
la ronce de nos désirs.
Puis lassée de nos soupirs,
tu t'égares un peu plus loin.

Boreas,waterhouse
Débuté par aurile, avril 22 2009 12:07
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