Youpi youp
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ã la jolie G
Youpi youp tralali les petites souris
Sont mimis en habits d'un joli rosé gris
Mais elles sont insaisissables
ET nous font plein de tours pendables !
Youpi youp tralalin les tout petits lapins
Semblent prêts à nous faire un gros tas de câlins
Mais leur cohorte est innombrable
Et quels queu fêtards c'est pas croyable !
Les lapins lapinous c'est pas bientôt fini ?
C'est pas un pré coquins voyez c'est un ordi
Vous l'encombrez de vos culbutes
J'ai l'écran tout bouffé saturé de Bunnies
Poussez-vous coquinous faites place aux Minnies !
Douces sous leurs faux airs de put flûtes
Voici qu'enfin sous lui
Voici qu'enfin sous lui parmi quand même et or,
Vos non, tous, quand avec dessous qu'entre eux ailleurs,
Loin sur l'un autrefois d'autant presque les leurs
Toutes déjà plus tôt pourtant peut-être encor.
Comment alors où donc, toujours entre d'abord
Desquelles moins hormis qu'avant plusieurs tout autre,
Trop vite ! que jamais contre malgré d'accord
Quiconque tard combien pas une ni le vôtre.
Mais soi naguère ici d'entre là -bas moins tard,
Nous, sauf en outre si pendant comme elles, car
Certain qu'auparavant bien volontiers chacune,
Tant à peu près toujours mais nullement ni rien
D'où celle-ci mieux lui, certes, là dans aucune
Ensuite puis partout comme au dehors le mien.
Façon G.
Tu sens bien, tu sais bien, toi de qui je suis ivre,
Soit légers, soit dorés des soleils africains,
Tu sais trop quels instants tes chers yeux me font vivre,
Quels instants en mon coeur je chéris et je crains...
Sais-je moi si je dois soit te fuir soit te suivre ?
Hier encor mes regards couvaient tant de chagrins,
Tant mon coeur de tourments... Mais te voir me délivre,
Ma nuit fond aux soleils de tes gestes coquins...
Combien sont chair à chair ces instants doux à vivre !
Dissipés, disparus toute glace et tout givre,
Tes assauts sont plus chauds, plus suaves chacun...
Ton désir me redit les chemins qu'il faut suivre...
Tes soupirs enchanteurs sont de cuir et de cuivre :
Enchaînés de leurs feux, nos deux coeurs ne font qu'un.
Ma Couille
Couvre-moi de baisers ma Couille ! Entre tes bras,
Donne-moi le plaisir, le bonheur de surprendre
Et le chaud de ta braise et le doux de ta cendre,
Et le sel dédoré de tes purs saharas !
Couvre-moi comme un loup, comme un fou ! Tu verras
Quelle joie et quel pied tu prendras à me prendre !
Car ton membre est plus dur que mon ventre n'est tendre
Et ton doigt semble expert à sonder mes chakras !
Ma Couille, mon Mickey, ta première phalange
Est déjà tout au bord de me fendre l'orange,
Et ton coeur et mon coeur font un feu de djembé !
Quoi déjà !? Mince alors ! ta semence est partie...
Tout le suc amoureux sur le sable est tombé.
0k... Le prochain coup je draguerai Minnie.
Les Souffrances du Christ
Aïe aïe aïe oh foutoir que c'est dur ! vacherie !
Ah misère, ah galère ! Ah putain c'est pas vrai !
Ah houlà j'en peux plus Stop ! assez stop arrêt !
Aïe houlà ça fait mal ! Hou bordel que j'en chie...
Argh o God ça suffit ! Aïe oh là non faudrait
Qu'on arrête... ô purée ! arrêtez je vous prie !
Oh les cons Nom de dieu ! ça fait mal ! Ah je crie
Merde enfin ! J'ai dit stop ! Non pitié pas le fouet !
Les fumiers ! Non pas ça Merde ! assez ! j'en ai marre !
Plein le cul de vos... Outch ! De vos coups non point barre !
Ça va bien vos Houlà mais putain !... Bon les gars !
LÃ je pisse le sang je suffoque je tousse
J'en ai pris plein ma gueule arrêtez les dégâts !
Khof ! ASSEZ ! KHOF ! ÇA VA ! ça suffit J'AI DIT : POUCE !
Sonnet de mon Cul
Comme au grand Trianon l'on accourt l'on s'accoutre :
« Quelle grâce seigneur ! les beaux vers que voilà !
Du cousu douze pieds la rime et caetera. »
Tes putains de beaux vers tu peux bien te les foutre.
Bon poète du zob, ton gros cul c'est une outre
A chier tous les jours des quatrains dans un plat :
Bien cadré bien carré c'est pourave, c'est plat,
Et ça sue et ça suinte a s'astiquer la poutre.
Pauvre con ! c'est pas dur de compter jusqu'Ã douze !
De mouler, de pousser, de poser quelque bouse
Qui te fasse admirer d'encor plus cons que toi !
Tes quatrains de mon cul c'est vraiment trop la loose :
On s'astique, on se suce, on finit en partouze :
« Ah ! ces rimes, ces vers ! que d'amour que d'émoi !»
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