Oh! quand viendra l'inéluctable
tu existes depuis le néant
tu t'es assis sur ton séant
épiant les ames déclinantes
laissant aux gens des plaies béantes
ta demeure est hantée par des géants
ton ombre investie mon esprit
épargne à mon ame les sévisses de l'abjection
de ta grandeur je suis épris
élude à mon être meurtri la déréliction
remplis mon ame de ton affection
je me tourne vers toi avec mon inébranlable conviction
accueille moi dans ton royaume de bénédiction
élève moi jusqu'à la béatitude
en me submergeant de ta mansuétude

Le trépas
Débuté par Anis1984, avril 29 2009 07:40
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