
Mon désarroi.
#1
Posté 30 avril 2009 - 05:51
comme la mer ressasse son bruit de succion;
je te ressasse, te rumine sans répit,
tu me reviens sans cesse tel un leitmotiv.
Toi et encore toi et puis
encore toi
encore et toujours toi
et toi, plus que jamais
comme un insoluble, un indicible tourment,
une exaspérante quadrature du cercle.
Pourquoi, pourquoi, pourquoi me pèses-tu autant
et sèmes-tu la confusion
dans mes idées ?
Toi, toi que je n'en finis pas de ressasser
toi qui me ballotte à me rendre nauséeuse,
toi
mon désarroi qui me soulève le coeur.
En finirai-je jamais un jour avec toi ?
#2
Posté 30 avril 2009 - 06:35
BonsoirToi, mon problème, mon tracas, je te ressasse
comme la mer ressasse son bruit de succion;
je te ressasse, te rumine sans répit,
tu me reviens sans cesse tel un leitmotiv.
Toi et encore toi et puis
encore toi
encore et toujours toi
et toi, plus que jamais
comme un insoluble, un indicible tourment,
une exaspérante quadrature du cercle.
Pourquoi, pourquoi, pourquoi me pèses-tu autant
et sèmes-tu la confusion
dans mes idées ?
Toi, toi que je n'en finis pas de ressasser
toi qui me ballotte à me rendre nauséeuse,
toi
mon désarroi qui me soulève le coeur.
En finirai-je jamais un jour avec toi ?
je trouve tes rimes bien accrocheuses
pour le thème que tu as choisi
j'ai trouvé ton poème très élégiaque
et très bien exprimé,je me sentais vraiment
emporté par l'élan de la mélancolie et de la tristesse
Amicalement
Anis1984
#3
Posté 30 avril 2009 - 06:44
Le parfait opposé de ce poème serait intéressant, aussi:

Toi, mon plaisir, ma joie, je te fredonne
Comme la mer chantonne sa rumeur de désirs
Je te ronronne, te lutine sans répit
tu me hantes, m'enchantes tel un refrain
Toi t puis encore toi, et puis
Toujours toi
Et toi plus que jamais
comme un irrésistible, un inexprimable enchantement
Une délicieuse harmonie des sphères
pourquoi, pourquoi, pourquoi m'obsèdes- tu autant
Et parsèmes- tu la pâmoison
Dans mes pensées?
Toi, toi que je n'en finis pas de fantasmer
Toi qui m'entraînes à me rendre heureuse
Toi,
Ma certitude qui embaumes mon coeur
En aurais- je jamais assez un jour de toi?
#4
Posté 30 avril 2009 - 06:58
Bonsoir
je trouve tes rimes bien accrocheuses
pour le thème que tu as choisi
j'ai trouvé ton poème très élégiaque
et très bien exprimé,je me sentais vraiment
emporté par l'élan de la mélancolie et de la tristesse
Amicalement
Anis1984
Merci beaucoup, Anis1984, ça me touche.
J'ai voulu exprimer quelque chose que je ressentais profondément...et m'en soulager, par les mots...enfin m'en soulager un peu. J'aime à croire que les mots cautérisent les pires plaies...
Bien à toi.
P.L
Oui, c'est souvent comme ça... On ressent bien ce fardeau dans le ressassement des mots.
Le parfait opposé de ce poème serait intéressant, aussi: ^_^
Toi, mon plaisir, ma joie, je te fredonne
Comme la mer chantonne sa rumeur de désirs
Je te ronronne, te lutine sans répit
tu me hantes, m'enchantes tel un refrain
Toi t puis encore toi, et puis
Toujours toi
Et toi plus que jamais
comme un irrésistible, un inexprimable enchantement
Une délicieuse harmonie des sphères
pourquoi, pourquoi, pourquoi m'obsèdes- tu autant
Et parsèmes- tu la pâmoison
Dans mes pensées?
Toi, toi que je n'en finis pas de fantasmer
Toi qui m'entraînes à me rendre heureuse
Toi,
Ma certitude qui embaumes mon coeur
En aurais- je jamais assez un jour de toi?
En effet, très interessant. C'est vrai, mon poème n'est pas gai. J'aurais, sans conteste, préféré que mon état d'âme actuel m'inspire plutôt le tien.
Mais voilà , les impératifs de la sincérité sont ce qu'ils sont...
Amicalement.
P.L
Oui, c'est souvent comme ça... On ressent bien ce fardeau dans le ressassement des mots.
Le parfait opposé de ce poème serait intéressant, aussi: ^_^
Toi, mon plaisir, ma joie, je te fredonne
Comme la mer chantonne sa rumeur de désirs
Je te ronronne, te lutine sans répit
tu me hantes, m'enchantes tel un refrain
Toi t puis encore toi, et puis
Toujours toi
Et toi plus que jamais
comme un irrésistible, un inexprimable enchantement
Une délicieuse harmonie des sphères
pourquoi, pourquoi, pourquoi m'obsèdes- tu autant
Et parsèmes- tu la pâmoison
Dans mes pensées?
Toi, toi que je n'en finis pas de fantasmer
Toi qui m'entraînes à me rendre heureuse
Toi,
Ma certitude qui embaumes mon coeur
En aurais- je jamais assez un jour de toi?
En effet, très intéressant. C'est vrai que mon poème n'est pas gai. J'aurais, sans conteste, préféré que mon état d'âme actuel m'inspire plutôt le tien.
Mais, hélas, les impératifs de la sincérité sont ce qu'ils sont...
Bien à toi.
P.L
#5
Posté 01 mai 2009 - 06:57
Toi, mon problème, mon tracas, je te ressasse
comme la mer ressasse son bruit de succion;
je te ressasse, te rumine sans répit,
tu me reviens sans cesse tel un leitmotiv.
Toi et encore toi et puis
encore toi
encore et toujours toi
et toi, plus que jamais
comme un insoluble, un indicible tourment,
une exaspérante quadrature du cercle.
Pourquoi, pourquoi, pourquoi me pèses-tu autant
et sèmes-tu la confusion
dans mes idées ?
Toi, toi que je n'en finis pas de ressasser
toi qui me ballotte à me rendre nauséeuse,
toi
mon désarroi qui me soulève le coeur.
En finirai-je jamais un jour avec toi ?
Bonjour Patricia. Je suis mortel mais j'aime ! aimer c'est souffrir un peu, beaucoup, passionnément à la folie.
Joli Premier mai
richard
#6
Posté 01 mai 2009 - 10:29
Bonjour Patricia. Je suis mortel mais j'aime ! aimer c'est souffrir un peu, beaucoup, passionnément à la folie.
Joli Premier mai
richard
Bon premier Mai à toi aussi, mon cher Richard.
Bien à toi
Patricia.
Oui, c'est souvent comme ça... On ressent bien ce fardeau dans le ressassement des mots.
Le parfait opposé de ce poème serait intéressant, aussi: ^_^
Toi, mon plaisir, ma joie, je te fredonne
Comme la mer chantonne sa rumeur de désirs
Je te ronronne, te lutine sans répit
tu me hantes, m'enchantes tel un refrain
Toi t puis encore toi, et puis
Toujours toi
Et toi plus que jamais
comme un irrésistible, un inexprimable enchantement
Une délicieuse harmonie des sphères
pourquoi, pourquoi, pourquoi m'obsèdes- tu autant
Et parsèmes- tu la pâmoison
Dans mes pensées?
Toi, toi que je n'en finis pas de fantasmer
Toi qui m'entraînes à me rendre heureuse
Toi,
Ma certitude qui embaumes mon coeur
En aurais- je jamais assez un jour de toi?
Très interessant, en effet. C'est vrai que mon poème n'est pas gai. J'aurais, de beaucoup, préféré en écrire ta version plutôt que la mienne.
Mais on n'y peut rien, hélas, c'est la sincérité qui dicte...
Merci
Bien à toi
P.L
#7
Posté 01 mai 2009 - 10:55