L'astre d'or disparaît par-delà l'horizon
 Laissant ainsi la place à de chaudes nuances
 Qui chauffent à leur tour mon cœur et ma conscience
 De leur rouge embrasé, de leur sens si profond.
 
 Les palmiers éclairés dansent sous le zéphyr
 Et respectueusement plient devant la beauté
 Du ciel marocain, des rêves oubliés
 Et réveillent en moi mille et un souvenirs.
 
 L'air doux et parfumé m'hypnotise et remplit
 Mon être triste et creux de suaves senteurs
 Et fait monter en moi une puissante ardeur
 M'incitant à pleurer la beauté et la vie.
					
					
					
				
				
				
				
	
Crépuscule à Marrakech
		 Débuté par hugdup, mai 01 2009 07:28 
	
	
	
	
		
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