Je te ferai l'inventaire
De ma misère
Et le butin
De mes folies de fantassin
Et tu comprendras pourquoi
J'ai de ces tristes voix
Tu comprendras que l'épine
Vaut la morphine
Que des calvaires
On revient avec de tel vers
Tu comprendras ma poésie
Mes vers de nostalgie
Tu verras, je ne suis pas fakir
Je suis martyre
Et pèlerin
Pour la cause des vieux copains
Tu aimeras mes aquarelles
Tu comprendras ma vie rebelle
Je suis
Un juif
Qui fuit
La nuit
Je suis un nénuphar
Planté sur le hasard

je suis un nénuphar
Débuté par Thierry du Rwanda, mai 05 2009 08:36
5 réponses à ce sujet
#1
Posté 05 mai 2009 - 08:36
#2
Posté 05 mai 2009 - 08:41
Bonsoir Thierry..
Toujours cette plume....
que j'aime...
Tes tristes mots nous montrent la réalité d'un quotidien..
et c'est pour cela..qu'il faut faire l'inventaire..
Amitiés
EStelle
Toujours cette plume....
que j'aime...
Tes tristes mots nous montrent la réalité d'un quotidien..
et c'est pour cela..qu'il faut faire l'inventaire..
Amitiés
EStelle
#3
Posté 05 mai 2009 - 08:47
"Je te ferai l'inventaire
De ma misère "
La misère d'un nénuphar, est-ce d'être né nulle part ?
De ma misère "
La misère d'un nénuphar, est-ce d'être né nulle part ?
#4
Posté 05 mai 2009 - 08:54
"Je te ferai l'inventaire
De ma misère "
La misère d'un nénuphar, est-ce d'être né nulle part ?
C'est cela même. entre deux vagues, entre deux ondes.
#5
Posté 05 mai 2009 - 11:03
Je suis un nénuphar
Planté sur le hasard
Bonsoir Thierry
Le nénuphar est chéri dans la poésie et vie vietnamiennes , c'est une fleur noble
car elle pousse dans la boue mais elle est très parfumée , et ne garde rien de cette boue qui la nourrit.
Merci Thierry pour tes jolis mots.
amitiés
nina
#6
Posté 06 mai 2009 - 08:27
Bonsoir Thierry
Le nénuphar est chéri dans la poésie et vie vietnamiennes , c'est une fleur noble
car elle pousse dans la boue mais elle est très parfumée , et ne garde rien de cette boue qui la nourrit.
Merci Thierry pour tes jolis mots.
amitiés
nina
Merci pour cette note, Nina.
Comme un nénuphar, nous sommes appelés à rayonner
de joie, sans que le passé nous retienne. Merci