Car fleurir n'est en somme qu'une question de rencontre/
d'exposition.
Soi-même révélé et tout est à (re-).
Si tu t'adresses à la nudité qui est en moi,
au chant long comme des cheveux,
tu révèles la graine couvée dans un terreau de violences légères/
plus ou moins admises tout au long de l'enfance -
et après même ?
Ce ne doit pas t'arrêter,
seulement (nous) questionner sur la lumière crue de l'ubac,
nous affleurer.

Car fleurir
Débuté par Objet Numéro 1, mai 07 2009 06:12
2 réponses à ce sujet
#1
Posté 07 mai 2009 - 06:12
#2
Posté 07 mai 2009 - 08:30
Car fleurir n'est en somme qu'une question de rencontre/
d'exposition.
Soi-même révélé et tout est à (re-).
Si tu t'adresses à la nudité qui est en moi,
au chant long comme des cheveux,
tu révèles la graine couvée dans un terreau de violences légères/
plus ou moins admises tout au long de l'enfance -
et après même ?
Ce ne doit pas t'arrêter,
seulement (nous) questionner sur la lumière crue de l'ubac,
nous affleurer.
Epanouir
mais entre soi | la démarche insolente d'autruis
la gerbe dégagée.. toute approximation,
marchandage du fil, grâce obtuse |\
le seul resserrement n'opère
qu'à la base, rien en somme fastigié
rien que ne saccage la brassée | promesse d'autres enfantillages.
Souris, libère-toi
en version moins amère
délivre-nous du devoir de l'adret
qui devine
rayonne
#3
Posté 12 mai 2009 - 07:53
Merci pour cette lecture !