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Lubie


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6 réponses à ce sujet

#1 P?turajantiantic

P?turajantiantic

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Posté 09 mars 2007 - 06:20

Il faut laisser un peu d'espace
Aux yeux murmurant l'infini;
Au creux des mains gercées s'entassent
Les martyrs partis sans un cri.

Le grenier sage palpite alors
Et se prolonge dans la nuit:
Il abroge les couleurs d'aurore
Et son pinceau pourchasse l'ennui.

Les plumes dociles s'éclaboussent
D'encre, d'amour et de blessures;
Tous les complets sortis des housses
Se mettent à danser près des murs.

La lubie reste insoumise
Tant que l'éclat du songe éclot
Dans les vallées fertiles du crâne
Où aucun songe ne trouve repos.

#2 hurlantenova

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Posté 16 mars 2007 - 07:28

Les outils, les armes.

#3 hurlantenova

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Posté 16 mars 2007 - 08:04

ricana le fonctionnaire.

#4 hurlantenova

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Posté 17 mars 2007 - 12:56

Ses yeux étaient grands, bleus, attentifs ; on lisait dans leur regard quelque chose de doux mais de pesant, quelque chose qui était empreint de cette expression bizarre qui permet à certains de deviner dans un sujet, et au premier coup d’œil, l’épilepsie.

#5 hurlantenova

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Posté 17 mars 2007 - 12:58

- Et le Poète dit qu'aux rayons des étoiles Tu viens chercher, la nuit, les fleurs que tu cueillis ; Et qu'il a vu sur l'eau, couchée en ses longs voiles, La blanche Ophélia flotter, comme un grand lys.

#6 hurlantenova

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Posté 17 mars 2007 - 03:35

- C'est une bonne farce !

#7 hurlantenova

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Posté 17 mars 2007 - 08:01

J'ai vu fermenter les marais énormes, nasses Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan !