On dit les femmes
Aussi acides qu’enjôleuses
Comme leurs airs
De printemps perpétuel
À quoi bon leur jardin
Si d'aventure
Rien ne nous y invite déjÃ
Sont trop courtes leurs nuits
Au hasard des regrets
Où elles ne rêvent plus
De châteaux en Espagne
Mais elles pleurent
À capacité de larmes
Pour les fleurs fichues
Chaque automne
De leurs tendresses
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