D’un coeur las. Dans votre ultime illusion morte
Je penserai à l’éternel mort.
Et j’en sentirais, cette suprême vérité,
Pas un seul espoir, pas un seul désir
Pour une si chère illusion, qui a disparu.
Reposez-vous donc ! À jamais.
Vous, qui aviez labouré la vie
Car enfin, pas une seule chose se vaut
Dans votre votre battement de vie :
Ou le monde, n'est pas digne
De vos plaintes. Âcre et fatigante,
La vie n’est rien de plus : qu’un monde de boue.
Vous étiez maintenant, abattu de désespoir
Pour la dernière fois.
Votre Destin, dans sa dernière chevauchée
Offert seulement à la mort.
Désormais, je voyais l’image du mépris,
Dans cette force de la brute, et de la guerre
Qui souterrainement, commande le mal universel,
Et toujours ce vide,si infini de tout.
À moi-même
Débuté par bernardo, mars 09 2007 07:19
4 réponses à ce sujet
#1
Posté 09 mars 2007 - 07:19
#2
Posté 16 mars 2007 - 07:06
un sacrilège !
#3
Posté 17 mars 2007 - 12:55
j'y suis !
#4
Posté 17 mars 2007 - 12:56
Un hydrolat lacrymal lave Les cieux vert-chou : Sous l'arbre tendronnier qui bave, Vos caoutchoucs Blancs de lunes particulières Aux pialats ronds, Entrechoquez vos genouillères Mes laiderons !
#5
Posté 17 mars 2007 - 03:35
- "Prêtres, professeurs, maîtres, vous trompez en me livrant à la justice.





