17 réponses à ce sujet

[Théo]

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Ce texte qui m'appartient ( voir édition Toute la poésie octobre 2008 " Partir") se trouve actuellement dans sa version entière sans renvoi indiquant mon nom, et sans mon autorisation ) dans le recueil de poésie ' Passage en sublimie de Pierre Louis Delvaux éditions Books Editions...

Partir si loin du monde
Anéantir la mémoire
Les souvenirs flottent dans l’air
Personne ne me retient
Sinon l’ombre perfide
Des tendresses possibles

S’arrêter sur ces plages blondes
Où la paix vous inonde
J’existe là-bas
Derrière ces champs d’étoiles
J’habite des espaces infinis
Un refuge de glace pour logis

T’inventer
Cheminer vers toi
Se laisser surprendre
Derrière la transparence de ton corps
Ton âme m’effleure
M’emmaillote
Me confine calmement
Je m’enroule au creux d’un nuage
En panne dans un ciel sans ombrage

Bercée par la mer
Je reste là
Devant l’aube qui s’ennuie
Vision unique de l’indicible
J’écoute le néant imperceptible

J’emprisonne le silence

Théo

[lacape]

c'est vrai qu'il interpelle ton texte ! douceur et poésie s'emtremêlent !

pour le reste, tu sais sur internet, ça va ça vient ! pour se protéger ? je ne vois pas comment !

[Théo]

c'est vrai qu'il interpelle ton texte ! douceur et poésie s'emtremêlent !

pour le reste, tu sais sur internet, ça va ça vient ! pour se protéger ? je ne vois pas comment !

Bonjour Dominique

je suis quand même contrariée c'est quelqu'un que je connais bien...
je lui avais demandé d'apporter la précision de l'auteur de ce texte , près de l'éditeur...pas fait!!

merci de ton passage Dom!!

Th.

[Victorugueux]

Si au lieu de dire néant si tu disais le vide,
dans le vide il y a de l'absence, beaucoup d'espace
et pour un bouddhiste zen du plein en négatif question yin et yang

[Théo]

Si au lieu de dire néant si tu disais le vide,
dans le vide il y a de l'absence, beaucoup d'espace
et pour un bouddhiste zen du plein en négatif question yin et yang

tu as certainement raison Victor

mais je trouve le mot néant plus joli..*
et finalement plus " plein"

merci de ta lecture

Théo

[d-welle]

ma solution si tu veux bien
tu n'as qu'a te dire que Pierre Louis Delvaux c'est toi
Par exemple tu peux te dire que Gustave Flaubert c'est toi
(moi je ne fais pas la différence entre tous ces noms propres
le bruit change un peu c'est tout)

beaucoup de monde s'appelle N'Guyen
ce n'est pas très grave je crois le nom
mais si ! pour l'annuaire c'est bien

à part ça tu t'en fiches

[Théo]

ma solution si tu veux bien
tu n'as qu'a te dire que Pierre Louis Delvaux c'est toi
Par exemple tu peux te dire que Gustave Flaubert c'est toi
(moi je ne fais pas la différence entre tous ces noms propres
le bruit change un peu c'est tout)

beaucoup de monde s'appelle N'Guyen
ce n'est pas très grave je crois le nom
mais si ! pour l'annuaire c'est bien

à part ça tu t'en fiches

je pense un peu comme toi sauf que ce texte j'y suis attachée.....
c'est le premier texte que j'ai écrit....

quand à être " l'autre" non du tout tu vois


bonne journée

Théo

[richard TR]

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Ce texte qui m'appartient ( voir édition Toute la poésie octobre 2008 " Partir") se trouve actuellement dans sa version entière sans renvoi indiquant mon nom, et sans mon autorisation ) dans le recueil de poésie ' Passage en sublimie de Pierre Louis Delvaux éditions Books Editions...

Partir si loin du monde
Anéantir la mémoire
Les souvenirs flottent dans l’air
Personne ne me retient
Sinon l’ombre perfide
Des tendresses possibles

S’arrêter sur ces plages blondes
Où la paix vous inonde
J’existe là-bas
Derrière ces champs d’étoiles
J’habite des espaces infinis
Un refuge de glace pour logis

T’inventer
Cheminer vers toi
Se laisser surprendre
Derrière la transparence de ton corps
Ton âme m’effleure
M’emmaillote
Me confine calmement
Je m’enroule au creux d’un nuage
En panne dans un ciel sans ombrage

Bercée par la mer
Je reste là
Devant l’aube qui s’ennuie
Vision unique de l’indicible
J’écoute le néant imperceptible

J’emprisonne le silence

Théo

Salut Théo, un petit tour pour te faire un signe amical et rester à l'écoute de ce néant imperceptible.

"Ce néant qui nous tient. Mon immortelle vanité ! "

Bien à toi

Richard

[Théo]

Salut Théo, un petit tour pour te faire un signe amical et rester à l'écoute de ce néant imperceptible.

"Ce néant qui nous tient. Mon immortelle vanité ! "

Bien à toi

Richard

merci Richard

du bonheur à te retrouver par là

bien à toi

Théo

[Emrys]

Premier texte dis-tu, Théo ?
J'ai du mal à le croire

C'est peut-être possible d'être si près des étoiles quand on s'appelle Théo

Il demeure... qu'en magicienne bercée par la mer, tu l'as drapé de nuages de toute beauté
Laisse-moi le relire encore et encore...

" Partir si loin du monde
Anéantir la mémoire
Les souvenirs flottent dans l’air
Personne ne me retient
Sinon l’ombre perfide
Des tendresses possibles

S’arrêter sur ces plages blondes
Où la paix vous inonde
J’existe là-bas
Derrière ces champs d’étoiles
J’habite des espaces infinis
Un refuge de glace pour logis

T’inventer
Cheminer vers toi
Se laisser surprendre
Derrière la transparence de ton corps
Ton âme m’effleure
M’emmaillote
Me confine calmement
Je m’enroule au creux d’un nuage
En panne dans un ciel sans ombrage

Bercée par la mer
Je reste là
Devant l’aube qui s’ennuie
Vision unique de l’indicible
J’écoute le néant imperceptible

J’emprisonne le silence "

[rentypoesie]

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Ce texte qui m'appartient ( voir édition Toute la poésie octobre 2008 " Partir") se trouve actuellement dans sa version entière sans renvoi indiquant mon nom, et sans mon autorisation ) dans le recueil de poésie ' Passage en sublimie de Pierre Louis Delvaux éditions Books Editions...

Partir si loin du monde
Anéantir la mémoire
Les souvenirs flottent dans l’air
Personne ne me retient
Sinon l’ombre perfide
Des tendresses possibles

S’arrêter sur ces plages blondes
Où la paix vous inonde
J’existe là-bas
Derrière ces champs d’étoiles
J’habite des espaces infinis
Un refuge de glace pour logis

T’inventer
Cheminer vers toi
Se laisser surprendre
Derrière la transparence de ton corps
Ton âme m’effleure
M’emmaillote
Me confine calmement
Je m’enroule au creux d’un nuage
En panne dans un ciel sans ombrage

Bercée par la mer
Je reste là
Devant l’aube qui s’ennuie
Vision unique de l’indicible
J’écoute le néant imperceptible

J’emprisonne le silence

Théo

Si lire rime avec évasion, bouffée d'oxygène alors ton poème remplit mes poumons et m'entraîne loin à l'horizon !
Ces vers sont des vaguelettes qui viennent mourir au creux de mon âme.
J'ai frissonné. Un seul mot : merci ...pour ce partage.
Amicalement

[110go]

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Ce texte qui m'appartient ( voir édition Toute la poésie octobre 2008 " Partir") se trouve actuellement dans sa version entière sans renvoi indiquant mon nom, et sans mon autorisation ) dans le recueil de poésie ' Passage en sublimie de Pierre Louis Delvaux éditions Books Editions...

Partir si loin du monde
Anéantir la mémoire
Les souvenirs flottent dans l’air
Personne ne me retient
Sinon l’ombre perfide
Des tendresses possibles

S’arrêter sur ces plages blondes
Où la paix vous inonde
J’existe là-bas
Derrière ces champs d’étoiles
J’habite des espaces infinis
Un refuge de glace pour logis

T’inventer
Cheminer vers toi
Se laisser surprendre
Derrière la transparence de ton corps
Ton âme m’effleure
M’emmaillote
Me confine calmement
Je m’enroule au creux d’un nuage
En panne dans un ciel sans ombrage

Bercée par la mer
Je reste là
Devant l’aube qui s’ennuie
Vision unique de l’indicible
J’écoute le néant imperceptible

J’emprisonne le silence

Théo

portes plainte tu vas toucher le jacpot ! C'est totalement inadmissible ! va voir noireamie elle peut t'informer!

[Théo]

Bonjour,

Le néant à cette avantage d'être ici ou la...dans notre fort intérieur, et du néant ne peut naître que la Création. Les bruits du silence sont souvent plus assourdissant, et le néant lui n'a pas d'échos.

Bien à toi.

Utopie

oui il est partout il m' habite...me berce ..me broie

ricane à mes oreilles...me nargue ...

m'effleure, caresse abyssale..perverse et créative comme tu le dis a..

je te remercie pour ta lecture et ton commentaire aussi

Théo

[Théo]

Premier texte dis-tu, Théo ?
J'ai du mal à le croire

C'est peut-être possible d'être si près des étoiles quand on s'appelle Théo

Il demeure... qu'en magicienne bercée par la mer, tu l'as drapé de nuages de toute beauté
Laisse-moi le relire encore et encore...

" Partir si loin du monde
Anéantir la mémoire
Les souvenirs flottent dans l’air
Personne ne me retient
Sinon l’ombre perfide
Des tendresses possibles

S’arrêter sur ces plages blondes
Où la paix vous inonde
J’existe là-bas
Derrière ces champs d’étoiles
J’habite des espaces infinis
Un refuge de glace pour logis

T’inventer
Cheminer vers toi
Se laisser surprendre
Derrière la transparence de ton corps
Ton âme m’effleure
M’emmaillote
Me confine calmement
Je m’enroule au creux d’un nuage
En panne dans un ciel sans ombrage

Bercée par la mer
Je reste là
Devant l’aube qui s’ennuie
Vision unique de l’indicible
J’écoute le néant imperceptible

J’emprisonne le silence "

saches une chose Emrys je mens jamais...
je connais pas ce truc là!!!...

j'écris "des crottes de nez "depuis toute petite..

mais ce texte je crois que c'est le premier
que j'ai écrit quand sérieusement je suis entrée en religion " poésie"

vois tu mon frère il est mon essentiel ..brut de tout...
sans doute fallait-il que ce soit dit...

en tous cas le bonheur est pour moi
de te lire à nouveau...enfin te lire..un bien grand mot...

j'aimerais davantage...

[Théo]

Si lire rime avec évasion, bouffée d'oxygène alors ton poème remplit mes poumons et m'entraîne loin à l'horizon !
Ces vers sont des vaguelettes qui viennent mourir au creux de mon âme.
J'ai frissonné. Un seul mot : merci ...pour ce partage.
Amicalement

bonjour rentypoésie...

un poème que j'affectionne beaucoup sorti des oubliettes...

bonne journée à toi

Th.

[Comtoise]

Très touché, merci

[Théo]

Très touché, merci

Bonjour comtoise....

au plaisir..

Théo