Les enfants sont partis
Un matin en hiver
Dans le froid, dans la nuit
Du début de la guerre
Oubliées les couleurs
Du revers de leur veste
Et la mort sans lueur
Le parfum qu'il en reste
Et les enfant s'endorment
Entassés dans ces trains
Sous l'aboiement des hommes
Le regard de leur chien...
...Dans les livres d'histoire
Et sur leur yellow star.
Les enfants sans comprendre
Ni pourquoi ni vers ou
On les a fait se rendre
Ont marché sous les coups
Oubliés tous les jeux
Les étoiles peintes en or
Réfléchies sous leurs yeux
Aux contours de leur corps
Et les enfant s'endorment
Entassés dans ces trains
Sous l'aboiement des hommes
Le regard de leur chien...
... Dans le fond des mémoires
Et sur leur yellow star.
Les enfants c'est ainsi
Sont partis sans s'en faire
Dans le froid, dans la nuit
Du début de la guerre
Oubliées les couleurs
Du revers de leur veste
Et la mort sans lueur
Le parfum qu'il en reste
Et les enfant s'endorment
Entassés dans ces trains
Sous l'aboiement des hommes
Le regard de leur chien...
...Dans les livres d'histoire
Et sur leur yellow star.

Les enfants de la nuit
Débuté par Sebastian1980, mars 01 2007 01:44
10 réponses à ce sujet
#1
Posté 01 mars 2007 - 01:44
#2
Posté 01 mars 2007 - 02:02
J'ai trouvé ce texte si bien écrit, avec une fabuleuse façon de tourner les phrases. J'aime beaucoup
#3
Posté 01 mars 2007 - 10:12
Merci Meli pour ton passage et pour avoir aimé ce petit texte écrit plutôt rapidement. J'ai déjà composé
la musique pour y poser ces quelques mots... Affaire à suivre.
Sébastien
la musique pour y poser ces quelques mots... Affaire à suivre.
Sébastien
#4
Posté 16 mars 2007 - 07:23
Je serai mêlé aux affaires politiques.
#5
Posté 16 mars 2007 - 07:27
Le fait est que j’ai mon père qui a rendu l’âme, et moi, un mois plus tard, je rentre de Pskov, tout juste si je rentre pas pieds nus.
#6
Posté 16 mars 2007 - 08:04
On dirait qu'une fée a passé dans cela !
#7
Posté 16 mars 2007 - 08:11
tu sens Sourdre le flux des vers livides en tes veines, Et sur ton clair amour rôder les doigts glaçants !
#8
Posté 17 mars 2007 - 12:51
Les desperados languissent après l'orage, l'ivresse et les blessures.
#9
Posté 17 mars 2007 - 12:54
l'Evangile a passé !
#10
Posté 17 mars 2007 - 07:58
Là, Près du lit maternel, sous un beau rayon rose, Là, sur le grand tapis, resplendit quelque chose.
#11
Posté 17 juillet 2011 - 11:33
Est-ce que quelqu'un peu l'empêcher d'écrire celui là ? Je parle pas de toi Sébastien mais bien de l'étrange personnage qui commente ton texte en vomissant ses idées grossières et décousues. Soi dit en passant j'aime ta verve et c'est un très beau texte, j'admire