Tu retiens un embrun qui détrempe à la marge,
Essoufflé t'arrachant, d'une crête et sa foule
Que les vagues ensablent...Desert sous la houle,
Une grogne et renvoies cet exergue au grand large.
Lazzulis englués, tes bombées joaillières
Où le sang, du verso, t'estampille fécond
Quà la cendre pamprée de si tristes flocons
Il dévale pour toi toutes les cordillères.
Où l'orage paraît, prisme cicatriciel,
Les soupes bouillonnantes encrent ta nature.
Le flux comme un éclair qui coule la brasure
Sur tes âges de bronze, en fait déjà le miel...

...
Débuté par belvis, mai 31 2009 08:47
2 réponses à ce sujet
#1
Posté 31 mai 2009 - 08:47
#2
Posté 01 juin 2009 - 10:34
Je t'ai déjà dit tout le mal que j'en pense...

#3
Posté 01 juin 2009 - 11:48
Je t'ai déjà dit tout le mal que j'en pense...
Benni soit qui mal y pense...
