Une grande mère sculpte sa canne !
Sa fille bien aimée caresse la mienne
Toutes cependant des perles païennes
De madame CHIRAC, Ã ma gardienne.
Sont toutes de simples freudiennes !
Élégantes avec leurs tétons nourris à la manne.
Et Bien que lesbiennes, ces sales cochonnes
savourent souvent mes lèvres qui rayonnent !
Et restent…restent plus au moins connes.
Ce sont là mes jolies gasconnes
Les princesses wallonnes ! Les magiciennes.
Noctuelles obsédées ces poltronnes !!
Reines elles aussi, comme les teutonnes
D'entre –elles il y a, Barbra, ma caponne !
Il y aussi Nancy ! La comtesse des bouffonnes
Mais il y a surtout ma bourrache ! La vaurienne !
Chef de la meute ! Mère de mes béotiennes.

les muses de mes affres
Débuté par homere., juil. 15 2007 11:09
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