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Récit d'un Poisson Pilote
Débuté par orphic, juin 23 2009 08:20
4 réponses à ce sujet
#1
Posté 23 juin 2009 - 08:20
#2
Invité_souris_*
Posté 24 juin 2009 - 06:00
Bonjour Orphic,
Très beau voyage au fond de la mer. Ce poisson pilote ne pilote pas grand chose ...
c'est drôle les mots français sont parfois déconcertants par eux-mêmes... mais tellement riches pour la poésie..
Amicalement
Souris
Très beau voyage au fond de la mer. Ce poisson pilote ne pilote pas grand chose ...

Amicalement
Souris
#3
Invité_Ykaal_*
Posté 24 juin 2009 - 07:16
Tout un monde sous- marin très bien représenté. Merci pour ce sympathique voyage.
#4
Posté 24 juin 2009 - 09:41
Bonjour Souris,
Oui bravo c'est ce je voulais faire passer comme message, mais il est heureux; car son coeur est ouvert à toutes les beautés que ces yeux voient au travers de ses voyages;
Et c'est bien un poème comme jeu de mot sur ce nom d'un poisson qui ne pilote comme tu dis pas grand chose qui ma inspiré ce poème, j'ai trouvé cette appelation très marrante et digne d'être le sujet d'un poème.
Merci d'être passée me voir
Envoie nous quelque chose aujourd'hui, que je puisse rire un peu.
A bientôt
Orphic
Re-bonjour Ykaal,
Merci; Tu vois un monde si immense dans des yeux si petits, un coeur si aventureux dans un corps si minuscule;
Ce poème se veut aussi allégorique dans son contenu, il est un message à aller profiter de la vie qui que l'on soit, où que l'on est.
A bientôt
Orphic
Ps: Je préfère ta nouvelle photo à l'ancienne. Plus mystérieuse, plus sincère.
Ce poisson pilote ne pilote pas grand chose
Oui bravo c'est ce je voulais faire passer comme message, mais il est heureux; car son coeur est ouvert à toutes les beautés que ces yeux voient au travers de ses voyages;
Et c'est bien un poème comme jeu de mot sur ce nom d'un poisson qui ne pilote comme tu dis pas grand chose qui ma inspiré ce poème, j'ai trouvé cette appelation très marrante et digne d'être le sujet d'un poème.
Merci d'être passée me voir
Envoie nous quelque chose aujourd'hui, que je puisse rire un peu.
A bientôt
Orphic
Re-bonjour Ykaal,
Tout un monde sous- marin très bien représenté. Merci pour ce sympathique voyage
Merci; Tu vois un monde si immense dans des yeux si petits, un coeur si aventureux dans un corps si minuscule;
Ce poème se veut aussi allégorique dans son contenu, il est un message à aller profiter de la vie qui que l'on soit, où que l'on est.
A bientôt
Orphic
Ps: Je préfère ta nouvelle photo à l'ancienne. Plus mystérieuse, plus sincère.
#5
Invité_Gallaumar_*
Posté 26 juin 2009 - 05:40
Hum... Un univers typiquement Gallaumarien, une photo sous marine que j'ai prise il y a quelques semaines dont j'ai heureusement conservé le négatif !
Voici la photo originale:
"L'ncommensurable ennui.
Sidéré, au trou noir de mon incompréhension,
Mais bien plus que l'infini de l'espace sidéral,
En proie, au sourd vertige des zones abyssales,
L'iceberg s'étiole, mon esprit fond d'admiration ...
Recueillant ma part de rêve au jardin des étoiles,
Ou plongeant en ce vide sombre, pareil au squale,
Je m'interroge, en sursis sur le fil d'un coupe-gorge,
Condamné au destin régi par les célestes horloges ...
Quelques poissons-pilotes, en parasites voyageurs,
Ventouses collées à ma peau, s'essayent au Do-In,
Et libre, je me faufile au mépris de leurs gageures,
Evitant dans les fosses marines, les champs de mines ...
Or, quand parfois, il m'arrive de regagner la surface,
Aux rais bleutés de Neptune, j'expose mon cartilage
Soulageant mon coeur de solitaire, écûmant de rage,
Le globe de l'oeil, hors de l'océan, pleurant d'angoisse ..."
Voici la photo originale:
"L'ncommensurable ennui.
Sidéré, au trou noir de mon incompréhension,
Mais bien plus que l'infini de l'espace sidéral,
En proie, au sourd vertige des zones abyssales,
L'iceberg s'étiole, mon esprit fond d'admiration ...
Recueillant ma part de rêve au jardin des étoiles,
Ou plongeant en ce vide sombre, pareil au squale,
Je m'interroge, en sursis sur le fil d'un coupe-gorge,
Condamné au destin régi par les célestes horloges ...
Quelques poissons-pilotes, en parasites voyageurs,
Ventouses collées à ma peau, s'essayent au Do-In,
Et libre, je me faufile au mépris de leurs gageures,
Evitant dans les fosses marines, les champs de mines ...
Or, quand parfois, il m'arrive de regagner la surface,
Aux rais bleutés de Neptune, j'expose mon cartilage
Soulageant mon coeur de solitaire, écûmant de rage,
Le globe de l'oeil, hors de l'océan, pleurant d'angoisse ..."
