Constamment je me mets ici, le soir
Sur des grandeurs désolées de la nature,
Et mon regard, embrasse le ciel de ces étoiles
Avec ces miroitements scintillants,
à laquelle, paraissent onduler tout mes rêves,
Sur un ciel sombre,
Je vois les étoiles s’enflammer, en haut
Dans le bleu le plus pur,
Et reflété au loin dans l'empire de la mer :
L'univers brille dans mes yeux, avec des étincelles
Je regarde cet espace, à travers le vide infinie et tranquille.
Et alors j'arrange mes yeux sur ces lumières
cela me paraissait comme, des prunelles de femmes
Mais encor si vaste, dans l’immensité
ce monde là! Fait-il partie vraiment de moi-même.
Constamment , je me mets ici le soir.
Débuté par bernardo, mars 10 2007 11:27
4 réponses à ce sujet
#1
Posté 10 mars 2007 - 11:27
#2
Posté 16 mars 2007 - 07:21
Tout l’argent, je parie, que vous leur avez donné pour rien !
#3
Posté 16 mars 2007 - 07:22
Un hydrolat lacrymal lave Les cieux vert-chou : Sous l'arbre tendronnier qui bave, Vos caoutchoucs Blancs de lunes particulières Aux pialats ronds, Entrechoquez vos genouillères Mes laiderons !
#4
Posté 16 mars 2007 - 07:28
Et elle, ça fait trente ans qu’elle est veuve, qu’elle vit avec les fols-en-Christ, du matin jusqu’au soir.
#5
Posté 17 mars 2007 - 07:56
Ma journée est faite ; je quitte l'Europe.





