Comme il est bon,en cette merveilleuse saison,de voir nos gens travailler dans les champs,
J'aimerai appliquer sur certaines de ces jolies demoiselles cet ancien droit de cuissage,
La beauté de ces jeunes dames ne trouve d'équivalent que dans la légéreté de leur corsage,
Ce sourire m'indique que vous ne seriez point contre pourvu que vous soyez dans mon camp,
Vous m'entraînez,dans cette ballade champêtre,vers votre antre où réside ce besoin d'Amour,
Je vous sais imprévisible,reine de luxure,mais vous me surprenez toujours dans ces moments,
En cet instant où vous prenez un malin plaisir à vous exiter,vous me trouvez impertinent,
Soit,je suis tout de ma personne à vous,celui que vous aimez appeler votre coq de basse-cour,
Vous voilà de votre corps à nouveau nue,allongée,de vos exentricités prête à l'emploi,
Votre beauté n'a nulle autre pareille,une lignée antique remontant au temps d'Aphrodite,
Vos seins gonflés de désir pointant vers le ciel,de vos envies démesurées : Une invite,
Hier je vous ai prise sur le bonheur-du-jour,aujourd'hui cela sera fait à l'orée de ce bois,
Posiotionner vous le savez,vos jambes écartées font de votre intimité le plus beau décor,
Par les rayons du soleil,un regard éclairé sur cette grotte qui a fait tant de miracles,
Je vais de par ma langue en atteindre l'autel où trône,de l'Amour,le tabernacle,
Vous donnant ainsi ce dont vous espériez,les plaisirs insoupçonnables de votre corps,
J'entend de vous des gémissements,un plaisir humide que vous venez de lacher,
Satisfaction de la premiére cartouche tirée,mais vous êtes la winchester de la jouissance,
Maintenant arrive ce que vous attendez,votre pieu des délices,votre plat de résistance,
Voluptés extrémes tirées de ma possession,je vais de votre plaisir,des cris,en arracher.

AMOUR CHAMPETRE
Débuté par CELUI QUI SAIT, juil. 18 2007 10:51
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