Le temps coule
Je passe dans la foule
Sans apercevoir rien
Je le vois bien.
C`est une angoisse
Qui déchire mon coeur.
Le temps passe
Il meurt
Il me serre..
L`âme comme une pierre.
Aucune raison.
Aucune trahison.
Seulement la peine
Pleine de haine.
Les passants dans la rue,
Je ne les ai pas vus.
sans titre
Débuté par hirondelle, mars 10 2007 09:28
6 réponses à ce sujet
#1
Posté 10 mars 2007 - 09:28
#2
Posté 13 mars 2007 - 09:56
Merci pour le commentaire.Je suis ravie que tu aies bien compris mon poème
Amitiés;H
Amitiés;H
#3
Posté 16 mars 2007 - 07:20
- C'est trop petit pour nous, Nous crèverions de chaud, nous serions à genoux !
#4
Posté 16 mars 2007 - 07:20
Mais toujours seul ; sans famille ; même, quelle langue parlais-je ? Je ne me vois jamais dans les conseils du Christ ; ni dans les conseils des Seigneurs, - représentants du Christ.
#5
Posté 16 mars 2007 - 07:36
Sur les routes, par des nuits d'hiver, sans gîte, sans habits, sans pain, une voix étreignait mon coeur gelé : "Faiblesse ou force : te voilà, c'est la force.
#6
Posté 16 mars 2007 - 07:40
Les Gaulois étaient les écorcheurs de bêtes, les brûleurs d'herbes les plus ineptes de leur temps.
#7
Posté 17 mars 2007 - 08:00
Nous faisons quelquefois ce grand rêve émouvant De vivre simplement, ardemment, sans rien dire De mauvais, travaillant sous l'auguste sourire D'une femme qu'on aime avec un noble amour : Et l'on travaillerait fièrement tout le jour, Et l'on se sentirait très Écoutant le devoir comme un clairon qui sonne : Et l'on se sentirait très heureux : et personne Oh !





