Toi qui es assis sur la citadelle du diable
Toi qui es assis sur la citadelle du diable,
N’as-tu pas encore trouvé le chemin fiable,
Pour s’abstenir de noircir ta mémoire,
En évoquant les morts et leurs désespoirs.
Fouille dans ton passé, tu trouveras la haine,
Qui t’incitait à troubler les consciences,
Pour effacer la honte accumulée dans ta jeunesse
Et montrer un cœur plein de répugnance.
Tu resteras tell, avec un diable ressuscité en toi,
La haine et la vie sombre, te feront la loi,
Elles ont laissé dans ta personnalité des séquelles
Qui t’irritaient en présence des femelles.
Tu ne changeras jamais ta façon d’agir,
Avec le temps, tu risqueras de finir
Un pion de l’univers pour son équilibre,
Ainsi, tu contreras le bien, pour vivre.
Le souffle qui animait ton esprit pour le mal
Ressemblait à celui des eaux polluantes
évacuées dans la période hivernale
Et entretenu par ton comportement bestial
Prend conscience, que les ruisseaux et les rivières
Ne peuvent se déverser que dans les mers,
Ton comportement ne soulagera pas les peines
Et l’humiliation, que tu avais subit dans ta jeunesse.
Dad Allaoua . .
