5 réponses à ce sujet

[le printemps de monenfance]

Je me lève en sueur,les membres fracassés,
C'est comme si la veille,j'avais boxé,
Le rituel du matin ,comme toujours le train -train,
Le corps endolori se revigore après le bain,

Mais la chaleur ,impitoyable,nous agresse,
Et dés le lever du jour ,elle ne cesse,
Par ces hauts pics,elle nous oppresse,
Même la mer et la clim,elles n'arrivent pas à chasser notre mollesse.

[Patricia Laranco]

Je me lève en sueur,les membres fracassés,
C'est comme si la veille,j'avais boxé,
Le rituel du matin ,comme toujours le train -train,
Le corps endolori se revigore après le bain,

Mais la chaleur ,impitoyable,nous agresse,
Et dés le lever du jour ,elle ne cesse,
Par ces hauts pics,elle nous oppresse,
Même la mer et la clim,elles n'arrivent pas à chasser notre mollesse.

Hé oui, ce sont les charmes de la canicule ! Tu les rends bien.

PL

[Paname]

Même la mer et la clim,elles n'arrivent pas à chasser notre mollesse.

je t'invite en Lorraine
nous, on n'est pas des mous !

[Victorugueux]

Bah à Paris depuis 4 à 5 jours pas vraiment très chaud du 23° à tout casser on se croirait en novembre

[sympatique]

bonjour Printemps

belle cette oppression sous tes vers

[le printemps de monenfance]

merci de votre passage à tous et je remercie aussi Monsieur Paname pour son invitation en Lorraine.
Je lui dis aussi qu' à 47 degré à l'ombre,il fondra lui aussi comme du beurre,qu'il soit Lorrain Parisien ou même caucasien.




Amitiés, Le printemps.