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Vivre c'est ralentir de nos coeurs s'émouvant.


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#1 poeteric

poeteric

    Tlpsien ++

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Posté 19 août 2009 - 01:42

Au flacon d'ton corps
Mon cœur tige de test
Retint tout l'intérieur
De tes rêves par fin
Aux anses de flux vifs
En sort sellant mon inspi
Pour en faire aumône
À nos sens traversés
En happant l'attirance
Des amants renversés
Aux passages biohasard
De leurs sens fluviales
Sur l'exosquelette
Des empreintes d'eau d'heure
Sur le lit laqué
Au drap de mer bleue
Dont les plis vagues
Dotent la peau de sel
Des pétillances de celle
Qui s'activent au ciel
Des prunelles olfactives
Par effluves visuelles
Des chimies qui s'activent

Bisous d'un peu partout sur Runes de tes côtes
Jusqu'au point ombilic dont tes lignes d'escales
Remontent sur ton cou mon souffle qui tressaute
Aux sons mélodiques de ton cœur qui s' emba lle

Les correspondances de nos haleurs de timbres
Sont les messagères des frôlements syncopes
De notre jouissance lorsque l'on vient à ceindre
Ce que nous suggèrent nos corps qui s'enveloppent

Caresses de strophes que des lettres dessinent
Sur pages d'étoffes de nos encres câlines
Lorsque l'on s'affronte sur le lit d'un recueil

L'amour apostrophe pour que l'on s'y culmine
Quand on se fait la teuf nous ressentant tout in
Sans aucunes hontes que raisons qui s'effeuillent

Vivre c'est
ral
en
tir
de nos
cœurs s'é
mou
Vant

Nos bras enrubannent les intenses reliures
De nos corps qu'inspirent leur opus lazulite
Pour en redéfinir les vérités écrites
Entre les médianes de notre couverture

Dans l'air aux roulades des rires qu'on chahute
Je te suis pardessus des dessous au velours
Des dentelles de nues nous échancrant l'amour
Aux tourbillons jades de l'azur en volutes

C'est d'apothéose nous rapprocher des lices
Lorsque l'on oppose sur les ondes d'esquisses
Nos sens en vibrations des instincts chorégraphes

C'est bien plus que n'osent de simples artifices
Lorsqu'ils juxtaposent leurs éclats au solstice
De notre confusion que l'infini érafle

Vivre c'est
ral
en
tir
de nos
cœurs s'é
mou
Vant

Aux fleuves des gènes nos courants se combinent
Quand on se déverse du haut de nos cascades
Remontant l'averse des mélanges nomades
Vers un ciel sans gênes que deux corps qui l'inclinent

Course en diagonale de nos roucoulements
Qu'accompagne au dôme la pleine déstructure
De tous nos atomes solvant leur signature
Dans les intervalles de nos échos hurlants

Dense cœrcition faisant valser la brise
Des apparents rayons venues de nos balises
Surgissant l'inconnu sur des sentiers sans fin

Aux pas des migrations sur la vie insoumise
Au fur que nous délions ce qui déshumanise
Le monde est parvenu dans ses propres confins

Vivre c'est
ral
en
tir
de nos
cœurs s'é
mou
Vant

Embardée de spasmes des lueurs sans pourvus
Pourvu que tout brille Pourvu que tout fonctionne
Laissant les fantasmes recouvrir nos vertus
Du goût des papilles des âmes qui rayonnent

Nulle autre vérité ni énième copie
De rêves factices ni actes possessifs
C'est juste nous donner pour en toner la vie
De flashs sur nos iris par désir intuitif

C'est en nous l'abandon projetant dans l'espace
Le temps qui se confond ne tenant plus en place
Quand ses ombres se ploient de nos libres cadences

Douce euphorie sans fond du béant en surface
De nos soupirs aux tons des regards qui font faces
Quand toute candeur croît de caresses intenses

Vivre c'est
ral
en
tir
de nos
cœurs s'é
mou
vant

Viens allons simplement tamponner notre amour
Sur les mots effleurés de notre air sensuel
Aux lignes composées des courbes parallèles
De nos yeux en aimants de tout ce charme autour

J'arrête ce discours puisé de ta beauté
Comme un fleuve au long cours qui ne fait qu'avancer
J'imprime sur papier ces illusions au sort
De mes doigts au clavier venant prendre ton corps

Flottant dans l'océan qu'on appelle internet
J'écris mes sentiments comme écrit un poète
Ô bouteille de vers fût de mon oxygène

Sans autre naviguant que solitude faite
Je sombre doucement dans l'ombre de ma couette
L'abstrait vient extraire mes visions d'un Eden

Il contourne les traits de ton air naturelle
Fait des luxuriances de ton sourire éclot
Entre les variances du tout devenant beau
Quand rien n'est aussi laid qu'être superficiel

Il Il va s'évase lorsque lorsque s'effleurent
Nos pouces nos pousses d'eau à dos dans la gamme
Qu'ambre rase embrase le noir et les lueurs
Quand on se rebrousse nous mélangeant nos flammes

Voile là et voila au vent l'auvent qu'aux flots
L'atlas m'attelasse son indice parait
Étaler l'horizon en falaise de braises

Des tas d'états d'ébats des oh dit d'idéaux
De pile naît face d'écrire ce qui crée
Sous la pluie nos frissons comme unique synthèse

Vivre c'est
ral
en
tir
de nos
cœurs s'é
mou
Vant

D'accents bagatelles sous cette pluie diffuse
Au froid qui harcèle fond la chaleur intruse
Retenue dans le creux de nos mains qui se joignent

Sur flaques se fêlent mes réflexions confuses
Mes vapeurs ruissèlent d'une brume de muse
Et je suis amoureux de tout ce que j'empoigne

Qu'ils pleuvent qu'ils ventent n'attends le coup de foudre
Sous la cornée blanche de l'œil d'un cyclone
Qu'un regard déclenche sur l'homme et sur la faune
Retentissant quand chante le cœur réduit en poudres

Puis je sais l'éclaircie jamais loin quand m'approche
De ses effets sereins sur l'accroc des nuages
Le futur incertain d'une femme aux sillages
Du soleil surpris quand elle le chevauche

Vivre c'est
ral
en
tir
de nos
cœurs s'é
mou
vant

Réponds moi répands moi repent moi l'ardent toi
Quand un jour au hasard de nos cœurs qui se croisent
Tu sauras nous savoir pour que tu apprivoises
L'improbable illusion des je ne sais pourquoi

C'est du goutte à goutte de notre cote à cote
Que se ralentissent de nos visions surprises
Les rires complices lorsque l'on reprécise
La stupeur Knock out de nos attraits qui s'hôtes

En attendant l'amour je ne m'effondre pas
Je ne construits de tour que liberté d'état
En aimant mon prochain mon cœur se réalise

Les instants sont parcours des bilans sans compta
Des choix et carrefours ma conviction prendra
Le souffle des embruns quand tu t'y concrétise

Vivre c'est
ral
en
tir
de nos
cœurs s'é
mou
vant

Je veux palper tout l'or du lit des champs de blés
Fondre en leur écume que soulève le vent
Pour qu'on s'évapore sur la paille séchée
Que l'été allume sur notre sol couchant

De nos couleurs vives que printemps fait renaître
Au gris de carbone des nuits longues d'hiver
Tombent dans l'automne des pluies qui nous prospèrent
Les orées lascives du temps qu'on enchevêtre

Quatre tableaux de fonds faisant décors qui dansent
La cinquième saison n'a aucune incidence
Elle est la compagne des bourgeons éternels

Elle est l'amalgame de ce que l'on recèle
Sans autre imprégnation
Que laisser sa puissance
Sur nos implications
Volter tout notre encens

Vivre c'est
ral
en
tir
de nos
cœurs s'é
mou
vant

Ma sixième saison m'est toute sexuelle
Faite des extrêmes d'unités symbiotiques
Que trois mots je t'aime font unir en unique
Les lettres de nos noms de nos corps qui s'épellent

Dédales par mille que des balcons surmontent
Dans les axes parfaits d'un enchevêtrement
Où nos peaux ricochets d'ensemble confondant
Au tout qui s'empile quand chacun se confronte

Dans la foule la rue fait allure de pause
Les angles répètent les mêmes lignes droites
Des sens filant à vue des verticales nettes
Rien ne se dépose que nos courses étroites

On reprend la marche dans le flux des passants
J'aime sous les arches flâner aux éléments
Surtout quand il flottent dans tes yeux que j'admire

C'est devant l'ascenseur que l'on fini chez moi
Les premiers serrements de nos silences tendres
Que font les frôlements dans la nuit qui se cendre
De tout notre intérieur marqué du moindre émoi

La septième saison c'est le septième ciel
Elle est ce qui fécond nos besoins essentiels
D'une simple osmose de nos corps qui s'imbriquent

Nous sommes la ville le monde et les chants
Variations subtiles de tous nos sentiments
Quand on se compose du bien être empirique

J'aimerais tant ceindre la fraîcheur d'une idylle
Aux courants des afflux faisant rosée de geintes
Les matins contigus des chaudes nuits d'étreintes
Quand nous violons d' ingre nos corps qui s'assimilent

Fit des habitudes des aiguilles en geôles
Des vagues factices sur les rives réelles
De tes yeux myosotis qui au fond d'eux recèlent
Le temps qui s'élude sous tes cheveux de saule

J'écris comme un appel ce manque de chérir
Nos sens qui frêles de devoir contenir
Les flammes de notre air faisant braiser nos bouches

Mes mots pèle mêles ricochent au zéphyr
Qui tatoue sur le ciel les noces du frémir
Redondant sur terre nos clameurs dans ses couches

Je veux être le loup sous lune pleine et prise
De ses turgescences sur ton regard en feu
J'hurle quand tu lances de ton timbre harmonieux
Nos désirs qui se louent de nos forces éprises

Allons couvrir l'obscur de tout notre arc en ciel
Ses couleurs avivent l'espace transparent
Des vues intuitives qui suivent nos courants

De ce qu'on perdure d'extase sensorielle
L'envie exclusive nous attire en aimants
Des portées natives de notre flamboiement