
Heureusement
Le long des sentiers défleuris
Des feuilles jaunies
Foulées aux sols par ma larme
L’allure se fait pesante,
De l’étrange défiance du naturel
La voile glisse facile
Vers l’humeur bleuie par le vent
Les désirs sont des ordres blessés,
Et si je sais les regards gris
Je connais surtout les blessures aux rêves
À l’ombre des bruits de pelles
Ça grimpe au long du cortège noir
LÃ haut, les croix ornent les pierres
Heureusement on voit la mer.