Il y va de ces destins formidables qui se heurtent aux vents
Qui s'exilent loin de tout les instants
Prenant à pleines mains, terres, brindilles et épines
Pour en forger les rêves, les désirs de l'atropine
Il y va de ces chemins de montagnes
A fleur de peau arrachée à l'aubépine
Mêlant au sang le parfum de cocagne
Un battement de coeur, le chant de la résine
Il y va de ces visions d'enfances
Où grandit par les discours discourtois
Nous nous égarons privé de défense
Où il faut retrouvé à travers le doute, la foi.
Il y va de ma vie, et de mon coeur,
Il y va de ma raison et de mon savoir
Il y va de mon œuvre et de mes sourires
Que de réapprendre à vivre...

Cheminement
Débuté par TUPI, sept. 01 2009 11:44
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