Atteignant le point culminant du supplice, je suis effroyablement apeurée.
Plus je m'éloigne et plus les kilomètres m'arrachent la peau. J'entends les déchirements jusqu'au sang déroulé sur l'asphalte. J'ai tellement mal que je ne peux plus respirer. La nausée m'envahit. Et je ne vois plus… que du sang et quelques larmes rougies.
Voilà vingt-quatre heures passées sans toi et il y a, là, la sensation qu'on m'arrache une partie du corps. La douleur devient toute aussi profonde qu'aigue.
Peu importe l'avenue et condamnée à la nausée,
…plus je m'éloigne et plus les kilomètres m'arrachent la peau.
(P.S. J'ai rédigé ceci il y a quelques semaines, sur un coup d'angoisse)

Condamnée à la nausée
Débuté par Noirâmie, sept. 06 2009 11:32
3 réponses à ce sujet
#1
Posté 06 septembre 2009 - 11:32
#2
Posté 06 septembre 2009 - 11:52
Voilà vingt-quatre heures passées sans toi et il y a, là , la sensation qu'on m'arrache une partie du corps. La douleur devient toute aussi profonde qu'aigue.
à mon avis, là , tu aimes fort
et ça peut faire mal
mais crois-moi
c'est bon !
content de te (re)lire, Noirâmie
paname
#3
Posté 06 septembre 2009 - 11:54
Encourageant mon cher Paname !
Merci pour ce premier commentaire
Merci pour ce premier commentaire

#4
Posté 07 septembre 2009 - 09:37
Salut amie du Nord!