
nonchalance
#1
Posté 16 janvier 2010 - 01:13
Et le temps cachant derrière son ère la nuit
Qui jetait les étoiles de son manoir sans bruit
L’avait moite sur son herbe, l’autre matin.
Sa forme pourrait grandir encore sur ma main ;
Sa couleur épouserait celle du jour épris
Des fleurettes qui dansottaient sur le vaste lit
Où se reposaient les teints du printemps éteint.
Sa grandeur attacherait à sa normalité le regard
Ramassant ses chaleurs sur le chemin du soir ;
Sa beauté cernerait d’alois mes visions nouvelles,
Et si de son toit chuteraient les belles lueurs
Attendez un autre où lune et citadelles
Eclairaient l’espace où la nuit laissait ses leurres.
farid khenat
#2
Posté 16 janvier 2010 - 04:17
Salut Farid, ta poésie aux accens originaux me manquait!J’avais déjà à l’œil l’estampe de demain
Et le temps cachant derrière son ère la nuit
Qui jetait les étoiles de son manoir sans bruit
L’avait moite sur son herbe, l’autre matin.
Sa forme pourrait grandir encore sur ma main ;
Sa couleur épouserait celle du jour épris
Des fleurettes qui dansottaient sur le vaste lit
Où se reposaient les teints du printemps éteint.
Sa grandeur attacherait à sa normalité le regard
Ramassant ses chaleurs sur le chemin du soir ;
Sa beauté cernerait d’alois mes visions nouvelles,
Et si de son toit chuteraient les belles lueurs
Attendez un autre où lune et citadelles
Eclairaient l’espace où la nuit laissait ses leurres.
farid khenat
Bonne année!
#3
Posté 16 janvier 2010 - 06:33
Bravo pour ce joli poème
je retiens ces vers:
Et si de son toit chuteraient les belles lueurs
Attendez un autre où lune et citadelles
Éclairaient l’espace où la nuit laissait ses leurres
Merci du partage
Amicalement
Allaoua
#4
Posté 17 janvier 2010 - 09:35
Très bon texte, reprise en "douceur".
Bonne année, un cousin de VanG (le valeureux)