
Ballade bohémienne.
#1
Posté 15 février 2010 - 05:04
Souffle la musique lisse ma peau
Glissent les chaines coulent les eaux.
Trois couleurs un soupçon, oh rancunes apostrophées
Le temps viole et mon cœur désarmé
Bat à l’encre noir contre ma peau de chagrin
L’emprunte éternelle des lendemains et des lendemains.
Oh cascades sempiternelles mon amour exilé.
Oh voyageur dans le ciel, ni patrie ni maison, ni baisé familier.
Mon âme de nomade me brise le cœur.
Cette vague, une ballade nocturne
File et se détache, lumière brune
Qui ne se pose oh regard d’écume.
Alors je marche et je marche comme un bohémien
Sans passé sans présent sans destin
Et l’amour tout entier sans corp sans dessin
Enveloppe mes pieds, baise ma bouche et caresse mes mains.
Kim
Janvier 2010
#2
Posté 15 février 2010 - 06:40

#3
Posté 15 février 2010 - 08:03
Jentends raisonner au loin un refrain redondant
Souffle la musique lisse ma peau
Glissent les chaines coulent les eaux.
Trois couleurs un soupçon, oh rancunes apostrophées
Le temps viole et mon cur désarmé
Bat à lencre noir contre ma peau de chagrin
Lemprunte éternelle des lendemains et des lendemains.
Oh cascades sempiternelles mon amour exilé.
Oh voyageur dans le ciel, ni patrie ni maison, ni baisé familier.
Mon âme de nomade me brise le cur.
Cette vague, une ballade nocturne
File et se détache, lumière brune
Qui ne se pose oh regard décume.
Alors je marche et je marche comme un bohémien
Sans passé sans présent sans destin
Et lamour tout entier sans corp sans dessin
Enveloppe mes pieds, baise ma bouche et caresse mes mains.
Kim
Janvier 2010
Intéressant, mais un peu négligé. Il suffirait de presque rien...

Bonne soirée.
Ninon
#4
Posté 15 février 2010 - 09:27
Le potentiel de ta métaphore est conséquent.Il va sans dire que ta plume est encore verte mais elle garde un bien doux secrêt!Le texte est plaisant mais hop,au travail!!!!J’entends raisonner au loin un refrain redondant
Souffle la musique lisse ma peau
Glissent les chaines coulent les eaux.
Trois couleurs un soupçon, oh rancunes apostrophées
Le temps viole et mon cœur désarmé
Bat à l’encre noir contre ma peau de chagrin
L’emprunte éternelle des lendemains et des lendemains.
Oh cascades sempiternelles mon amour exilé.
Oh voyageur dans le ciel, ni patrie ni maison, ni baisé familier.
Mon âme de nomade me brise le cœur.
Cette vague, une ballade nocturne
File et se détache, lumière brune
Qui ne se pose oh regard d’écume.
Alors je marche et je marche comme un bohémien
Sans passé sans présent sans destin
Et l’amour tout entier sans corp sans dessin
Enveloppe mes pieds, baise ma bouche et caresse mes mains.
Kim
Janvier 2010
#5
Posté 16 février 2010 - 02:07
c'est vrai, Ninon RJ, il s'en faut de peu pour être aimable !Intéressant, mais un peu négligé. Il suffirait de presque rien...
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Bonne soirée.
Ninon
