Je suis comme un grêlon qui tombe fort au sol,
Chauffé par le goudron, je me morphe en eau sombre.
Je répands mon gros corps et mon coeur en corolles
En dessous des pas mous qui guidés par l'alcool,
Ne se gêneront en rien pour y loger leur ombre.
Et peuvent pleurer les hommes que rien n'aura fait fondre,
Ils ne seront jamais un grêlon tout grinçant,
Tout plombant, tout changeant, noyés dans le surnombre
Des foules de corps immondes défilées dans les trombes
Qui forment comme d'un seul, un esprit verglaçant.

Cosmos glacial
Débuté par Josselfeo, déc. 26 2010 12:39
2 réponses à ce sujet
#1
Posté 26 décembre 2010 - 12:39
#2
Posté 26 décembre 2010 - 02:56
Bonsoir à vous,
Écrit, effectivement, bien rimé,
Mais dans son ensemble ne dit pas grand chose,
Difficile de comprendre le cheminement, surtout pour un collégien,
En dehors de l'apparition de l'alcool, dans la majorité de vos écrits
il est difficile de comprendre, ce dont vous voulez transmettre aux lecteurs.
Bien à vous, un vieux de la vieille qui à de la bouteille.
Antoine
Écrit, effectivement, bien rimé,
Mais dans son ensemble ne dit pas grand chose,
Difficile de comprendre le cheminement, surtout pour un collégien,
En dehors de l'apparition de l'alcool, dans la majorité de vos écrits
il est difficile de comprendre, ce dont vous voulez transmettre aux lecteurs.
Bien à vous, un vieux de la vieille qui à de la bouteille.
Antoine
#3
Posté 26 décembre 2010 - 03:12
Qui n'a pas tant de de bouteille en poésie, puisqu'il vient à peine de s'y mettre... Et effectivement il faut avoir l'esprit pour comprendre ce que l'esprit verglaçant signifie, c'est le lien des poètes qui comme des grêlons qui fondent se réunissent, en un un cosmos glacial, vos 64 ans n'ont rien à me prouver mon ami...Bonsoir à vous,
Écrit, effectivement, bien rimé,
Mais dans son ensemble ne dit pas grand chose,
Difficile de comprendre le cheminement, surtout pour un collégien,
En dehors de l'apparition de l'alcool, dans la majorité de vos écrits
il est difficile de comprendre, ce dont vous voulez transmettre aux lecteurs.
Bien à vous, un vieux de la vieille qui à de la bouteille.
Antoine
Et ma certitude est ici, serrez la donc fort, car vous aurez tort, à la fin.

Soyez déséagréable si vous le souhaitez, mais essayez de ne l'être point dans la disgrace. Et l'alcool ici n'est pas celui qui fonde mes pas, ne vous hatez pas et pesez.
Penchez vous bien, vous verrez qu'il n'y a aucun non-sens, et je peux m'expliquer aisément et vous ne pourrez rien, désolé. Alors assure mec et passe nous un peu de ta bouteille tant bue, au lieu de nous servir des mets rissolants mais périmés...
Et si vous êtes susceptible, voyez donc que je ne le suis pas moins.

Je ne veux rien transmettre au lecteur, seulement à moi même, dans sa multiplicité.
