LES LIE-CÅ’URS FORTES
Oh les parfums d’opalines
Ou bien les deux à la fois
Tu voulais les filles les plus fines
Alors tu bois, c’est comme ça.
Et plus t’avales plus t’es noir
Active ton poids, ferme-la
Et le poids les filles le fuient
Elles te fuient, reste là .
Oh ton cœur si fragile
Que t’a brisé la vodka
Dans l’appart’ de cette fille
Belle, en habit d’apparat
Tu vois, plus tu bois moins tu trouves
Encore plus saoul, esseulé tu te bats
Jadis pour lâcher du leste
Et aujourd’hui, pour s’en fiche.
Où sont les couleurs dauphines
Que tu cherchais autrefois ?
Le Whisky, comme la mer se retire
Laissant las, ton visage, ta rétine
Toujours au matin, nostalgie sourde
Lâcheté, tu te noies
Dans les douleurs enfantines
Les dents serrés tu aboies
Cette ritournelle te mine
L’enfer le samedi, le dimanche
Sisyphe lâche cette pierre
Oubli la, et siffle ton verre.
Et le jaune bilirubine
Tournent dans ses veines
Et dans un torrent de haine
Bouche sa voix libertine.
A. Panace

Les Lie-Coeurs fortes
Débuté par Archibald Panace, févr. 14 2011 11:56
1 réponse à ce sujet
#1
Posté 14 février 2011 - 11:56
#2
Posté 14 février 2011 - 10:39
ton texte joliment écris ma mis en émoi et cela ma rappelé tant de mauvais et bon souvenir pas si lointain de se que je fut maintenant je veux vivre et ne pas mourir de cela amitié philippe et quel rime a double sens le titre