Plus je vois la lune s'éloigner de moi
Repoussée par les océans révoltés
Alors chaque jour, c'est d'un éclat de bois
Que les vieux narvals se croisent, survoltés...
L'odeur du sang attise la convoitise
D'une colonie de crabes qui aiguise
Sur le gros sel de la banquise, leurs pinces
Au détroit glacé d'un espoir aussi mince
Qu'un parchemin d'explorateur chevronné
Ecrit d'encre de seiche, la morve au nez...

Au désespoir des narvals...
Débuté par vendredi13, févr. 15 2011 04:11
2 réponses à ce sujet
#1
Posté 15 février 2011 - 04:11
#2
Posté 15 février 2011 - 05:51

#3
Posté 15 février 2011 - 06:27
Marine étonnante!
Amitiés.
hasia