
Le Lendemain A Toujours Lieu
#1
Posté 20 août 2007 - 09:52
a toujours lieu
toujours
le lendemain a lieu
toujours
a
toujours lieu
a
toujours
toujours lieu
a lieu
a
toujours
lieu
le jour l'heure
tournent le
lieu
a
toujours
tout
le jour pour
couler tourner
avoir
lieu heure
et lendemain
toujours
le lendemain a lieu
a lieu
le jour
le lieu a
toujours lieu
le lendemain le jour
s'il tourne
si le jour
retourne
au lieu du
lendemain
a lieu
toujours
le lieu a lieu
le jour le lieu le
lendemain
parfois
toujours le
lendemain parfois
a lieu
a
vraiment lieu
vagin
le lendemain a toujours lieu
le lendemain
heure, lenteur du lendemain
odeurs senties, sorties du lendemain
le lent, l'heure, le jour
tournent
dans le lendemain
a lieu
a
toujours toujours
lieu
le lendemain
ou comme
comme le lendemain, comme demain
demain comme
comme quand comme
a lieu
a
vraiment lieu
le lendemain
a toujours lieu le lendemain
a lieu
comme quelque chose quand
quelque chose bouge
#3
Posté 21 août 2007 - 04:37
#4
Posté 21 août 2007 - 05:26
J'adore Ravel.
#5
Posté 22 août 2007 - 12:04
Ah ! Ravel... Oui ! Ravel ! Bien ! Ravel... Merci !
J'adore Ravel.
ravel, certainement un des plus grands maître de l'orchestration vaginal, que cette terre ait portée sur ses belle collines en carton.

#6
Posté 22 août 2007 - 03:30
ravel, certainement un des plus grands maître de l'orchestration vaginal, que cette terre ait portée sur ses belle collines en carton.
Ce n’est pas si faux que cela, son boléro est très sensuel, jusqu’au final très orgasmique, cher homere. A revoir. Il s’en passe des choses, sur, sous et à proximité des collines en carton, sais-tu ? Mais il est vrai que tu ne peux bien savoir ce que recouvre le mot vaginal... même dans tes tentatives non abouties de te faire passer pour une femme. Etre femme ne se plaque sur quelques tentatives d'accords au féminin, de-ci de-là , c’est. Y vois-tu mieux sur la mare en papier ?
#7
Posté 22 août 2007 - 07:05
#8
Posté 22 août 2007 - 07:22
#9
Posté 22 août 2007 - 07:52
#10
Posté 22 août 2007 - 08:33
Pour le boléro, dommage qu’il n’y ait le final qui explose dans tous les sens, mais j’ai adoré le réécouter ici. Pour le second lien, j'ai découvert avec une agréable déconcertation. J’aime le côté lancinant de la musique, l’étrangeté, la violence érodée de quelques bruits (bottes...), les gestes fractionnés du début, les jeux de lumières, la sobriété du décor, l’idée de l’anima animus (c’est tout au moins ainsi que je le vois). Par contre, je trouve le simulacre de la danse bien trop galvaudé. J'étais entre " mort du cygne" et "orange mécanique". J'ai aimé découvrir. Merci.
#11
Posté 23 août 2007 - 07:16
Amitiés,H.
#12
Posté 23 août 2007 - 07:51
Pour le boléro, dommage qu’il n’y ait le final qui explose dans tous les sens, mais j’ai adoré le réécouter ici. Pour le second lien, j'ai découvert avec une agréable déconcertation. J’aime le côté lancinant de la musique, l’étrangeté, la violence érodée de quelques bruits (bottes...), les gestes fractionnés du début, les jeux de lumières, la sobriété du décor, l’idée de l’anima animus (c’est tout au moins ainsi que je le vois). Par contre, je trouve le simulacre de la danse bien trop galvaudé. J'étais entre " mort du cygne" et "orange mécanique". J'ai aimé découvrir. Merci.
Je suis d'accord que la chorégraphie n'est pas exceptionnelle. C'était surtout l'occasion de renouer avec la jeunesse de Steve Reich. L'image fixe est un peu incongrue mais le morceau suivant (de 1967, hum) est un pur chef-d'oeuvre. A écouter à fond et en stéréo
It's gonna rain
et encore
Piano Phase
Merci Hirondelle.