Qui, des intègres ?

Au soleil qu'un néant, porte en lanterne sourde,
La larme à l'oeil, perlant ma joue, de son eau lourde,
J'ai la tête dans les nuages, où s'ionise,
Le sort, sur qui le vent, méchamment ironise !
Au nom de l'Homme, ayant cherché la particule,
Ne me perçant noble âme, qu'au regard des pleurs,
Qui condense un noyau de peine, en ma cellule,
L'esprit me presse, de chagrins atomiseurs !
Tristes procréateurs, de golems insidieux,
Pauvre Terre, mère promise à l'enfant dieu,
Et maudit Prométhée, qui l'enceinta de feu !
Qui saura maintenant, effacer à mon front,
Avec l'incendiaire, l'aleph qui me confond ?
Qui mettra au Monde, la fin de cet affront ?
Qui, des intègres ?

Au soleil qu'un néant, porte en lanterne sourde,
La larme à l'oeil, perlant ma joue, de son eau lourde,
J'ai la tête dans les nuages, où s'ionise,
Le sort, sur qui le vent, méchamment ironise !
Au nom de l'Homme, ayant cherché la particule,
Ne me perçant noble âme, qu'au regard des pleurs,
Qui condense un noyau de peine, en ma cellule,
L'esprit me presse, de chagrins atomiseurs !
Tristes procréateurs, de golems insidieux,
Pauvre Terre, mère promise à l'enfant dieu,
Et maudit Prométhée, qui l'enceinta de feu !
Qui saura maintenant, effacer à mon front,
Avec l'incendiaire, l'aleph qui me confond ?
Qui mettra au Monde, la fin de cet affront ?
Qui, des intègres ?

Au soleil qu'un néant, porte en lanterne sourde,
La larme à l'oeil, perlant ma joue, de son eau lourde,
J'ai la tête dans les nuages, où s'ionise,
Le sort, sur qui le vent, méchamment ironise !
Au nom de l'Homme, ayant cherché la particule,
Ne me perçant noble âme, qu'au regard des pleurs,
Qui condense un noyau de peine, en ma cellule,
L'esprit me presse, de chagrins atomiseurs !
Tristes procréateurs, de golems insidieux,
Pauvre Terre, mère promise à l'enfant dieu,
Et maudit Prométhée, qui l'enceinta de feu !
Qui saura maintenant, effacer à mon front,
Avec l'incendiaire, l'aleph qui me confond ?
Qui mettra au Monde, la fin de cet affront ?
Qui, des intègres ?

Au soleil qu'un néant, porte en lanterne sourde,
La larme à l'oeil, perlant ma joue, de son eau lourde,
J'ai la tête dans les nuages, où s'ionise,
Le sort, sur qui le vent, méchamment ironise !
Au nom de l'Homme, ayant cherché la particule,
Ne me perçant noble âme, qu'au regard des pleurs,
Qui condense un noyau de peine, en ma cellule,
L'esprit me presse, de chagrins atomiseurs !
Tristes procréateurs, de golems insidieux,
Pauvre Terre, mère promise à l'enfant dieu,
Et maudit Prométhée, qui l'enceinta de feu !
Qui saura maintenant, effacer à mon front,
Avec l'incendiaire, l'aleph qui me confond ?
Qui mettra au Monde, la fin de cet affront ?
Merci Chevalier Dupin, entre mes prétentions de petite rêveuse sans talent et sans mots cachés, quelle leçon m'as
tu mise !!! J'en suis toute retournée ... Bravo !! pour un petit retour parmi votre académie, je me sens rès
humble mais néanmoins admirative... Pensées belles et humanistes.... Laireveuse