
SI
#1
Posté 20 mars 2011 - 05:35
Si l’histoire de la vie s’était comportée mieux
Et si le monde d’en bas ne tournait à l’envers
Si j’avais pu alors défier tout l’univers
Et si je pouvais mettre la terre dans les cieux
Bâtir une colonne du nadir au Zéphyr
Pour qu’on entende enfin des clameurs retentir.
Si tu m’avais donné autant que j’ai reçu
Célébré nos matins si tendrement vécus
Et si tu m’avais dit ce qu’il fallait entendre
J’aurais assurément trouvé la fin plus tendre
Si les autres s’étaient tus, s’ils avaient disparus
Si tu m’avais suivi au-delà de ta rue,
Au-delà de ta peine, de ces sables mouvants
Où tu vivais autant le sale que l’émouvant
Si je n’avais rien dit, rien donné, rien promis
Si je t’avais aimée, comme on aime la pluie,
Comme on aime la vie simplement sans promesse
Je ne serai pas ici, ressassant ma tendresse.
Allons, il se fait tard, je reviendrai demain
Dors ma muse, ma princesse, il fait si noir, il est si tard
Le cimetière se vide, tandis que ma mémoire
S’égare dans le passé, se perd sur le chemin.
#2
Invité_Rodeur_*
Posté 20 mars 2011 - 06:09
--------------------------------------------------Si
Si l’histoire de la vie s’était comportée mieux
Et si le monde d’en bas ne tournait à l’envers
Si j’avais pu alors défier tout l’univers
Et si je pouvais mettre la terre dans les cieux
Bâtir une colonne du nadir au Zéphyr
Pour qu’on entende enfin des clameurs retentir.
Si tu m’avais donné autant que j’ai reçu
Célébré nos matins si tendrement vécus
Et si tu m’avais dit ce qu’il fallait entendre
J’aurais assurément trouvé la fin plus tendre
Si les autres s’étaient tus, s’ils avaient disparus
Si tu m’avais suivi au-delà de ta rue,
Au-delà de ta peine, de ces sables mouvants
Où tu vivais autant le sale que l’émouvant
Si je n’avais rien dit, rien donné, rien promis
Si je t’avais aimée, comme on aime la pluie,
Comme on aime la vie simplement sans promesse
Je ne serai pas ici, ressassant ma tendresse.
Allons, il se fait tard, je reviendrai demain
Dors ma muse, ma princesse, il fait si noir, il est si tard
Le cimetière se vide, tandis que ma mémoire
S’égare dans le passé, se perd sur le chemin.
#3
Posté 20 mars 2011 - 09:50
--------------------------------------------------
Il n'y a pas de sable autour de ma vie.
Erreur ! Dad n'a rien avoir ici. il se fait menteur et c'est le tout.
Tous les comptes sont à moi.
Popochepiche@yahoo.fr
moi_moi_encore@yahoo.fr
tatouage_moi@hotmail.fr
Germain1960@yahoo.fr etc.
A bon entendeur salut.
Sincèrement farid khenat
-------------------------------------
Erreur !
...
De :
Pipiche Popo <popochepiche@yahoo.fr>
...
Voir le contact
À : popochepiche@yahoo.fr
De farid khenat à farid khenat et non dad allaoua et autres...
???????????????????????????????
Que signifie cette invective ?
je pense que vous avez du vous tromper de sujet !
Un peu de discernement svp !
A bon entendeur
Phil24
#4
Posté 21 mars 2011 - 07:42
(inspiré d'une chanson ?)
Alain
#5
Posté 21 mars 2011 - 07:55
TB phil
(inspiré d'une chanson ?)
Alain
Bonjour Alain
Non pas particulièrement, ceci étant dit il y a sans doute des filiations muettes...
Philippe
#6
Posté 21 mars 2011 - 11:45
Ton écrit est trés plaisant, pour ma part...
Avec une certaine remarque, sachant que j'en fais souvent.
Tes six premiers vers me semblent généralistes, puis tu retombes
dans le personnel, le "Moi"...et une forme de vie privée....
A quoi devons nous, nous contenir ?
Antoine
PS: Pour les commentaires de "Rodeur" ou autres Pseudos, j'avoue que nous
devrions faire mains fortes pour palier à cette franche gène....
Antoine
#7
Posté 22 mars 2011 - 07:29
Cher Philippe,
Ton écrit est trés plaisant, pour ma part...
Avec une certaine remarque, sachant que j'en fais souvent.
Tes six premiers vers me semblent généralistes, puis tu retombes
dans le personnel, le "Moi"...et une forme de vie privée....
A quoi devons nous, nous contenir ?
Antoine
PS: Pour les commentaires de "Rodeur" ou autres Pseudos, j'avoue que nous
devrions faire mains fortes pour palier à cette franche gène....
Antoine
Cher Antoine
Merci pour ce commentaire. j'emploie le "je" dans les six premiers vers même si cela est de façon généraliste
en réalité je "plante" un décors ou affleure l'inanité du don de soi...rappelons nous le mythe de sisyphe...on recommence sans cesse...c'est dans notre nature, et pour paraphraser un courageux journaliste qui a décidé de rester au Japon, on touche peut être là également à "l'utopie du dérisoire"....
Philippe