FIN DE VOYAGE
Tout ce qui cesse, devient l’éternité,
L’ombre fugitive, l’arbre qui perdure.
Eveillé sous son nom qu’il ressuscite,
La main avec fleurs, le sang enchaîné.
Le voyage finira, resteront les montagnes,
Silencieuses, et le néant gris qui divaguera.
Un lieu qui n’a pas son lieu dans le désir,
Offre le mal pour sauver, découvre la vérité.
Ce que vous priez s’appelle Triste Rossignole.
Je sais, l’amour ne finit jamais.
Qu’y a t’il humain dans la souffrance,
Qu’y a t’il inhumain dans la mort ?
Oh, écoute ! Le nouveau jour s’énonce,
Mes les étoiles immobiles restent figées.
Les mains vides, le cœur vide, l’ombre paumée,
Et il n’y a plus de moi, mai il y a mon amour.

FIN DE VOYAGE
Débuté par yefimia, mars 26 2011 03:59
4 réponses à ce sujet
#1
Posté 26 mars 2011 - 03:59
#2
Posté 27 mars 2011 - 08:53
Yefimia bonsoir,
Désolé, mais pour moi, écrit trop éparpillé pour assimiler
son vrai sens.....Ce n'est qu'un avis....
Antoine
Désolé, mais pour moi, écrit trop éparpillé pour assimiler
son vrai sens.....Ce n'est qu'un avis....
Antoine
#3
Posté 27 mars 2011 - 09:44
Voici le texte complet:
FIN DE VOYAGE
Tout ce qui a cessé, deviendra l’éternité,
L’ombre fugitive, l’arbre qui perdure.
Eveillé sous son nom qu’il ressuscite,
La main avec fleurs, le sang enchaîné.
Le voyage finira, resteront les montagnes,
Silencieuses, et le néant gris qui divaguera.
Un lieu qui n’a pas son lieu dans le désir,
Offrant le mal pour sauver, découvre la vérité.
Ce que vous priez s’appelle Triste Rossignole.
Je sais, l’amour ne finira jamais, mais ;
Qu’y a t’il humain dans la souffrance,
Qu’y a t’il inhumain dans la mort ?
Oh, écoute ! Le nouveau jour s’énonce,
Mes les étoiles immobiles restent figées.
Les mains vides, le cœur vide, l’ombre paumée,
Et il n’y a plus de moi, mai il y a mon amour.
Que se cache t’il au fond d’un beau poème,
Le même don peut être le jour ou la nuit douce?
Ô lointain de rêve, où la musique s’épanouie,
Protége moi de cette roche, aveugle et froide.
L’amour cuit de l’œil, tromperie tremblante,
Fais que je demeure dans un lieu propre,
Où le mot a la valeur du destin et de conscience,
Où les ombres sont somptueuses et les choses petites.
Comment s’appelle le temps avant qu’on soit né,
Dans l’espoir des autres et dans l’embrasement ?
Sous la terre finira tout ce qui avait commencé,
Tout ce qui c’est passé, deviendra l’éternité.
Il n’y a pas de moi mai il y a mon amour,
Je le vois dans le soleil, sous la terre où nous pourrirons.
Le jour s’assumera dans sa grande gratitude,
Tel la musique, tel le vide, tel la quiétude.
Rien de plus…
FIN DE VOYAGE
Tout ce qui a cessé, deviendra l’éternité,
L’ombre fugitive, l’arbre qui perdure.
Eveillé sous son nom qu’il ressuscite,
La main avec fleurs, le sang enchaîné.
Le voyage finira, resteront les montagnes,
Silencieuses, et le néant gris qui divaguera.
Un lieu qui n’a pas son lieu dans le désir,
Offrant le mal pour sauver, découvre la vérité.
Ce que vous priez s’appelle Triste Rossignole.
Je sais, l’amour ne finira jamais, mais ;
Qu’y a t’il humain dans la souffrance,
Qu’y a t’il inhumain dans la mort ?
Oh, écoute ! Le nouveau jour s’énonce,
Mes les étoiles immobiles restent figées.
Les mains vides, le cœur vide, l’ombre paumée,
Et il n’y a plus de moi, mai il y a mon amour.
Que se cache t’il au fond d’un beau poème,
Le même don peut être le jour ou la nuit douce?
Ô lointain de rêve, où la musique s’épanouie,
Protége moi de cette roche, aveugle et froide.
L’amour cuit de l’œil, tromperie tremblante,
Fais que je demeure dans un lieu propre,
Où le mot a la valeur du destin et de conscience,
Où les ombres sont somptueuses et les choses petites.
Comment s’appelle le temps avant qu’on soit né,
Dans l’espoir des autres et dans l’embrasement ?
Sous la terre finira tout ce qui avait commencé,
Tout ce qui c’est passé, deviendra l’éternité.
Il n’y a pas de moi mai il y a mon amour,
Je le vois dans le soleil, sous la terre où nous pourrirons.
Le jour s’assumera dans sa grande gratitude,
Tel la musique, tel le vide, tel la quiétude.
Rien de plus…
#4
Posté 27 mars 2011 - 10:04
Yéfimia bonsoir,
Je vous remercie d'avoir allongé votre poème...
Je comprend plus de choses, que j'avoue ne pas pourvoir exprimer
à ce stade et par commentaire....
La messagerie est plus fine pour commenter....
Antoine
Je vous remercie d'avoir allongé votre poème...
Je comprend plus de choses, que j'avoue ne pas pourvoir exprimer
à ce stade et par commentaire....
La messagerie est plus fine pour commenter....
Antoine
#5
Posté 28 mars 2011 - 10:55
Je sais que ce poème est un brin atypique car issu de mouvement Néo-Symboliste,
un mélange de surréalisme et de symbolisme et l’éternel combat des mots, le dilemme :
est ce le poète qui domine les mots ou ses mots prends dessus sur lui ?
Merci pour ton attention pour mon écrit.
Salutations
Yéfi
un mélange de surréalisme et de symbolisme et l’éternel combat des mots, le dilemme :
est ce le poète qui domine les mots ou ses mots prends dessus sur lui ?
Merci pour ton attention pour mon écrit.
Salutations
Yéfi