Les cent feuillets posés lÃ
sur la commode
je les ai écrit pour garder ton souvenir
la mémoire de nos belles années
fleurie des rêves insensés
la course des nuages
jamais interrompue
nous dictait notre route
aller coûte que coûte
devant en oubliant les regards au passé
La métamorphose n'a pas eut lieu
restant les mêmes chavirés de l'âme
mais l'amour celui-là a fait le reste
les syllabes du verbe aimer
c'est nous deux
que la vie a noué, peloté
et bousculé
La vie, cette rengaine, je crois
que je ne cesserai d'y penser
comme d'une plume d'oiseau
ou plume d'acier
Les sauts vers le ciel
les descentes au raz de l'herbe
les escales au port de ma naissance
Le sourire que tu me décoches
C'est quoi les rêves ?
Plume d'acier
Débuté par Comtoise, avril 11 2011 04:43
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