Disons que nous sommes en prison,
Et que nous sommes nos propres matons.
Baptiste, c'est celui qui nous envoie des oranges.

Ode à Baptiste
Débuté par zapiski, mars 14 2007 02:44
5 réponses à ce sujet
#1
Posté 14 mars 2007 - 02:44
#2
Posté 14 mars 2007 - 02:44
Sur ce, moi aussi je dis adieu.
#3
Posté 16 mars 2007 - 07:11
quand tu reçus tant de coups de couteau, Quand tu gis, retenant dans tes prunelles claires Un peu de la bonté du fauve renouveau, O cité douloureuse, ô cité quasi morte, La tête et les deux seins jetés vers l'Avenir Ouvrant sur ta pâleur ses milliards de portes, Cité que le Passé sombre pourrait bénir : Corps remagnétisé pour les énormes peines, Tu rebois donc la vie effroyable !
#4
Posté 16 mars 2007 - 07:12
"Oh !
#5
Posté 16 mars 2007 - 07:24
La terre, demie-nue, heureuse de revivre, A des frissons de joie aux baisers du soleil.
#6
Posté 16 mars 2007 - 07:44
" Qu’est-ce que tu crois ? Le vieux, il est parti chez Nastassia Filippovna, s’incliner jusqu’à terre, la supplier, verser des larmes ; elle a fini par lui sortir l’écrin, elle le lui a jeté : "Tiens, elle lui dit, vieille barbe, les voilà, tes pendants d’oreilles, maintenant, pour moi, ils valent dix fois plus cher, si Parfione les a pris sous une telle menace.