Sentale oraison
Aux pieds nus marquetée
De mille et unes invisibilités distinctes
Je suis ce Je et pourtant je suis autre
Terni par mes manques
Brûlé par mon haleine
Et dans ce bois viennent lécher
A grandes lampées suaves
Des loups sans yeux ricanants sous mes branches

Loups
Débuté par vincent boutal, août 28 2007 04:55
4 réponses à ce sujet
#1
Posté 28 août 2007 - 04:55
#2
Invité_Le Prince de Dité_*
Posté 28 août 2007 - 04:59
Beau, rien à redire. Merci et bravo...
#3
Posté 28 août 2007 - 05:58
J'ai bien aimé...
Amitiés,H.
Amitiés,H.
#4
Posté 28 août 2007 - 06:15
Je suis ce Je et pourtant je suis autre
Une seule fois je restai muet. Ce fut quand un homme me
demanda : "Qui es-tu ?" (K.GIBRAN)
Pertinent questionnement...
Au plaisir de te relire,
La passagère
Une seule fois je restai muet. Ce fut quand un homme me
demanda : "Qui es-tu ?" (K.GIBRAN)
Pertinent questionnement...
Au plaisir de te relire,
La passagère
#5
Posté 28 août 2007 - 07:42
La conaissance de soi est en effet primordiale (je ne reprendrais pas ici le "connais-toi toi-même...". Je pense que chez beaucoup de poètes et poétèsses le problème réside plus loin encore, cad dans l'acceptation ou non de cet autre nécessaire à la création mais malheureusement despote et meurtrier quand on lui laisse prendre le pas sur la vie de tous les jours. (peut-être que je ne parle que pour moi?!)