de par le vide de mon verre a pied,
je me lève et emplit la coupe.
servant lentement,
le liquide couleur rubis.
ressortant de l'origine
de son vignoble,
ou bien même,
du conditionnement de son cubi!
un bar sympa,
une course aux dollars,
comtemplation furtive d'une falaise,
multiples rencontres a but lucratif...
je n'aspirais certainement pas a ça mais,
il faut savoir parfois passer du côté obscur.
une vie bien busy,
dénoué du moindre fantasme;
une vie sans fantaisie,
a l'opposé de mon "fantasque" passé.
l'ardêche est une terre d'acceuil parfaite
pour ceux qui n'ont rien d'autre a foutre;
que de regarder,
popol ce balançer entre ses deux guibolles,
travail et alcool pas cher,
familles de touristes,
d'ou femmes d'icelui point n'existe,
dans la durée de 18 a 40 années.
pas même de fêtes,
ou bien même de bonne musique...
mon verre a nouveau vide,
je vais me servir en biére
et change de récipient.
j'avais juste le désir
de retranscrire cet instant,
cette pensée récurrente.
aprés tout,
n'est ce pas dans ces moments,
que je me sent,
le plus proche de moi même?
superbe introspection alcoolisée,
ou tout est au choix,
synonyme de joie, de regrets,
ou tout simplement,
de liberté!
