LES AMANTS D’UN TEMPS
Sur le quai de la gare elle avançait vers lui
Un sourire enchanteur éblouissant d’émoi
Dans le ressac bruyant que fabrique la foule
Jolie fleur chahutée dans un monde qui découle.
La belle à petit pas se frayait un chemin
Pour venir retrouver son amant de passage
Ses petits seins gonflés tendaient son blanc corsage
Qu’elle lui offrirait jusqu’au petit matin.
Elle avait rendez vous ce soir avec l’amour
Un songe d’un instant, un doux rêve, un mirage
Qui gavera son cœur sans le prendre en otage
Pour finir seulement à deux un autre jour.
Demain aura défait les dernières promesses
Ce sont des souvenirs colorés de tendresse
Qui viendront jalonner ce parcours d’amoureux
Isolés pour un temps sur un bout de ciel bleu.

les amants d'un temps
Débuté par jc-blondel, mars 14 2007 07:07
7 réponses à ce sujet
#1
Posté 14 mars 2007 - 07:07
#2
Posté 16 mars 2007 - 08:24
J'aime beaucoup la tendresse qui s'échappe de ton poème.
#3
Posté 16 mars 2007 - 07:20
C'est dit.
#4
Posté 16 mars 2007 - 07:45
Et les Péninsules démarrées N'ont pas subi tohu-bohus plus triomphants.
#5
Posté 16 mars 2007 - 07:47
A qui me louer ? Quelle bête faut-il adorer ? Quelle sainte image attaque-t-on ? Quels coeurs briserai-je ? Quel mensonge dois-je tenir ? - Dans quel sans marcher ? Plutôt, se garder de la justice.
#6
Posté 16 mars 2007 - 11:45
merci dame cerise
de ton passage
amities
jean claude
quand à ?
je n'ai pas trop compris
au fait londres prends un S
cordiament
jean claude
de ton passage
amities
jean claude
quand à ?
je n'ai pas trop compris
au fait londres prends un S
cordiament
jean claude
#7
Posté 17 mars 2007 - 03:34
- Les saints !
#8
Posté 17 mars 2007 - 07:59
La race inférieure a tout couvert - le peuple, comme on dit, la raison ; la nation et la science.