Quand je t'ai vu partir, j'ai compris que c'était fini,
Mais je ne vais pas te regretter à l'infini.
Que tu parviennes à entrer ou à sortir de ma vie,
Cela ne m'importe guère, tant que tu ne reviennes plus ici.
Que ma mélancolie laisse place à la rêverie,
Et que ma nostalgie laisse place à la poésie.
Un autre est entré dans ma vie comme par magie.
Il m'a fait découvrir, en une nuit,
Une pluie d'étoiles quiluit, dans mon ciel assombrit.
Comme mon passé n'est que gribouillis,
Il a enlevé les brousailles pour que soit libre mon esprit.
Nous sommes inséparables comme l'oiseau et sa mélodie.

C'est La Vie
Débuté par Miette, sept. 01 2007 08:24
4 réponses à ce sujet
#1
Posté 01 septembre 2007 - 08:24
#2
Posté 01 septembre 2007 - 08:28
C'est dur le repas de la vie quand il ne reste que des miettes
Tu as ta connerie marquée au fer rouge sur ton front
Tu as ta connerie marquée au fer rouge sur ton front



#3
Posté 01 septembre 2007 - 08:31
c'est pourquoi il faut une révolution prolétarienne
#4
Posté 01 septembre 2007 - 08:36
c'est pourquoi il faut une révolution prolétarienne
Même pas la peine ce pauve mec
Est tellement certain de ses conneries
Qu'il ne s'apercevra de rien
#5
Posté 01 septembre 2007 - 08:37
il est nul ce poème c'est bien une femme qui l'a écrit c'est vraiment qq la praline sans compter les fautes d'orthographe allez 0 + pour l'encre et le papier lol