
voleurs fous et poètes !
#1
Posté 04 août 2011 - 09:24
Et les ombres du soir ouvrent leurs bouches
Pleines de voleurs fous et de douces catins,
Le poète comme un loup hurle la faim ;
La nuit sombre doucement se couche.
Les ombres du soir ouvrent leurs bouches,
Posant des lèvres noires sur l’âme dans la couche,
Paralysant les rêves dans la cervelle
Qui dansent sans trêve la macabre éternelle ;
Les ombres du soir ouvrent leurs bouches.
Pleines de voleurs fous et de douces catins,
La nocturne torpeur s’étale sans fin
Comme un cauchemar immarcescible
Qui berce tard les esprits terribles
Pleins de voleurs fous et de douces catins.
Le poète comme un loup hurle la faim
Et croupit au trou ainsi qu’un matin.
Sous la lune, les mots brillent et s’enlacent,
Le soir s’étale comme l’eau et s’efface ;
Le poète comme un loup hurle la fin.
#2
Posté 05 août 2011 - 10:01
#3
Posté 06 août 2011 - 11:27
On s'en fout de ce que pense le Victor Rugueux!
Dis donc Lulu tu l'appelles comment cette façon d'écrire?
demande de catwoman

#4
Posté 07 août 2011 - 04:45
on t'em-erde !Tu devrais abandonner la rime... Ton poème là , ça fait marabout-de-ficelles, tes rimes arrivent bien où il faut, mais ton poème est sans ressort dans ta phrase, c'est juste rimé et c'est bien tout

mais je tiendrai compte de ta remarque petit homme
On s'en fout de ce que pense le Victor Rugueux!
Dis donc Lulu tu l'appelles comment cette façon d'écrire?
demande de catwoman

pourquoi Lulu ? le nom d'une de tes tantes ?
J'appelle cette façon d'écrire une.... je sais pas... j'appelle pas finalement
en fait je comprends pas la question
#5
Posté 07 août 2011 - 08:52
va voir ailleurs, tu as suffisamment
De gens qui t'admirent
Un trop gros ego
Ne veut pas dire
que tu sois bon poète
#6
Posté 07 août 2011 - 09:57
c'est vraiment d'la merde,La nuit sombre doucement se couche
Et les ombres du soir ouvrent leurs bouches
Pleines de voleurs fous et de douces catins,
Le poète comme un loup hurle la faim ;
La nuit sombre doucement se couche.
Les ombres du soir ouvrent leurs bouches,
Posant des lèvres noires sur l’âme dans la couche,
Paralysant les rêves dans la cervelle
Qui dansent sans trêve la macabre éternelle ;
Les ombres du soir ouvrent leurs bouches.
Pleines de voleurs fous et de douces catins,
La nocturne torpeur s’étale sans fin
Comme un cauchemar immarcescible
Qui berce tard les esprits terribles
Pleins de voleurs fous et de douces catins.
Le poète comme un loup hurle la faim
Et croupit au trou ainsi qu’un matin.
Sous la lune, les mots brillent et s’enlacent,
Le soir s’étale comme l’eau et s’efface ;
Le poète comme un loup hurle la fin.
on dirait du bon Victor, avec du mauvais Ykaal ! (

Désolé, je n'adhère pas à vos délires, espèce de petit vous
#7
Posté 07 août 2011 - 03:31
on t'em-erde !
![]()
mais je tiendrai compte de ta remarque petit homme
![]()
pourquoi Lulu ? le nom d'une de tes tantes ?
J'appelle cette façon d'écrire une.... je sais pas... j'appelle pas finalement
en fait je comprends pas la question
Non Lulu parce que Jean-Luc(chaispasquoi) mais je sais bien que tu m'as reconnue banane

Alors c'est pas un pantoum? Non je crois pas ...
Bon à pluche
#8
Posté 07 août 2011 - 05:41
non, à vrai dire Madame c'est un calligramme, et je me proposais d'y suggérer un objet en toile de fond, une pantoufle. D'où votre confusion avec le pantoum, n'est-ce pas que j'ai raison ?Non Lulu parce que Jean-Luc(chaispasquoi) mais je sais bien que tu m'as reconnue banane
![]()
Alors c'est pas un pantoum? Non je crois pas ...
Bon à pluche

#9
Invité_Rodeur_*
Posté 08 août 2011 - 05:02
La nuit sombre doucement se couche
Et les ombres du soir ouvrent leurs bouches
Pleines de voleurs fous et de douces catins,
Le poète comme un loup hurle la faim ;
La nuit sombre doucement se couche.
Les ombres du soir ouvrent leurs bouches,
Posant des lèvres noires sur l’âme dans la couche,
Paralysant les rêves dans la cervelle
Qui dansent sans trêve la macabre éternelle ;
Les ombres du soir ouvrent leurs bouches.
Pleines de voleurs fous et de douces catins,
La nocturne torpeur s’étale sans fin
Comme un cauchemar immarcescible
Qui berce tard les esprits terribles
Pleins de voleurs fous et de douces catins.
Le poète comme un loup hurle la faim
Et croupit au trou ainsi qu’un matin.
Sous la lune, les mots brillent et s’enlacent,
Le soir s’étale comme l’eau et s’efface ;
Le poète comme un loup hurle la fin.
"Posant des lèvres noires sur l’âme dans la couche ..."
Couche sédimentaire ou couche bébé ou autre couche couche ?
cet écrit n'a pas le goût d'une pizza mais celui d'une tourte.