
#1
Posté 08 septembre 2011 - 05:08
Pourquoi écrire alors que ce monde va mal ?
Dois-je aider mes contemporains ? Les distraire ?
Et faire de cet enfer un monde beaucoup plus supportable,
Non je n’écrirais pas le énième poème sur ce monde immonde,
Je me pose la question : n’est-il n’est pas très indécent ?
D’écrire et de lancer des mots d’ordres pour les autres,
Alors que mon âme va plutôt mal et que je doute de tout,
Si au moins il suffisait de dire les bons mots pour que ça change,
Notre époque est affreuse, hélas je le vois chaque jour !
Si je peux vous aimez et vous aidez, l’accepteriez vous ?
Pour combattre en justice contre toute les forces du néant,
Ben ! Il faut déjà faire toute la lumière en soi-même,
Mais sur ma radio, j’entends toutes ces horreurs immondes,
Vous savez aussi que je sais que le monde est fait de crises,
Mais le pire c’est que quand je vois toutes ces injustices,
Qui sont faites aux noms de grands principes d’économie,
Moi je fatigue monsieur et mon espérance est bien faible,
Car il faut être très fou pour croire que demain sera mieux,
Mais déjà j’aime cette folie lumineuse, celle du vrai espoir,
J’ai encore cette lumière en moi mais elle est déjà très faible,
Le fait d’écrire et de lire aussi tous les autres amis poètes,
Cela me permet d’entretenir cette flamme qui vacille pourtant,
Les gens qui espèrent, ils restent encore des gens généreux,
Et cette générosité, c’est celle qui vous donne toute sa lumière,
Il ne sera jamais dit qu’il est inutile d’écrire, ça je le sais !
Mais comme le disait Jacques Prévert, dans un de ses livres,
Autrefois dans un de ses beaux poèmes, une histoire tendre,
Les poètes doivent aussi pouvoir parler de tous les malheurs,
Car un mauvais poète qui écrit que tout va bien dans ce monde !
Il n’aura jamais écrit qu’un pur acte d’une grande auto satisfaction,
La poésie est un cri, c’est aussi une lumière qui vous éclaire,
Il faut savoir crier très fort pour préserver la lumière des hommes...
#2
Posté 08 septembre 2011 - 06:15
Pourquoi écrire…
Pourquoi écrire alors que ce monde va mal ?
Dois-je aider mes contemporains ? Les distraire ?
Et faire de cet enfer un monde beaucoup plus supportable,
Non je n’écrirais pas le énième poème sur ce monde immonde,
Tu as raison.
Je me pose la question : n’est-il n’est pas très indécent ?
D’écrire et de lancer des mots d’ordres pour les autres,
Alors que mon âme va plutôt mal et que je doute de tout,
Si au moins il suffisait de dire les bons mots pour que ça change,
Bonne question.
Notre époque est a[ffreuse, hélas je le vois chaque jour !
Si je peux vous aimez et vous aidez, l’accepteriez vous ?
Pour combattre en justice contre toute les forces du néant,
Ben ! Il faut déjà faire toute la lumière en soi-même,
Qu'est-ce que tu as contre le néant ?
Mais sur ma radio, j’entends toutes ces horreurs immondes,
Vous savez aussi que je sais que le monde est fait de crises,
Mais le pire c’est que quand je vois toutes ces injustices,
Qui sont faites aux noms de grands principes d’économie,
et encore, on ne dit pas tout à la radio.
Moi je fatigue monsieur et mon espérance est bien faible,
Car il faut être très fou pour croire que demain sera mieux,
Mais déjà j’aime cette folie lumineuse, celle du vrai espoir,
J’ai encore cette lumière en moi mais elle est déjà très faible,
Le bec benzène, y a que ça de vrai.
Le fait d’écrire et de lire aussi tous les autres amis poètes,
Cela me permet d’entretenir cette flamme qui vacille pourtant,
Les gens qui espèrent, ils restent encore des gens généreux,
Et cette générosité, c’est celle qui vous donne toute sa lumière,
Enfin une bonne nouvelle.
Il ne sera jamais dit qu’il est inutile d’écrire, ça je le sais !
Mais comme le disait Jacques Prévert, dans un de ses livres,
Autrefois dans un de ses beaux poèmes, une histoire tendre,
Les poètes doivent aussi pouvoir parler de tous les malheurs,
Il peut être inutile d'écrire pourtant.
Car un mauvais poète qui écrit que tout va bien dans ce monde !
Il n’aura jamais écrit qu’un pur acte d’une grande auto satisfaction,
La poésie est un cri, c’est aussi une lumière qui vous éclaire,
Il faut savoir crier très fort pour préserver la lumière des hommes...
Oui.
#3
Posté 09 septembre 2011 - 01:30
ça reste la thérapie la moins chère
mais qu'est ce que c'est chiant pour les lecteurs
#4
Posté 09 septembre 2011 - 03:06

#5
Posté 09 septembre 2011 - 04:34
Je ne vois pas le rapport.
" Si je peux vous aimez et vous aidez, l’accepteriez vous ? "
Trop poli pour être honnête.
" J’ai encore cette lumière en moi mais elle est déjà très faible,"
Tu ne dois pas être en prise directe avec le monde. Tu fais dans le mélo. Hahaha.
" Le fait d’écrire et de lire aussi tous les autres amis poètes,
Cela me permet d’entretenir cette flamme qui vacille pourtant,
Les gens qui espèrent, ils restent encore des gens généreux,
Et cette générosité, c’est celle qui vous donne toute sa lumière,"
Tu bascules carrément dans l'infantilisme. Ou le mysticisme. Tu as de la fièvre, je pense.
" Les poètes doivent aussi pouvoir parler de tous les malheurs, "
Tes petits bobos. C'est mesquin et chiche. C'est du rien poé-tic.
"
Car un mauvais poète qui écrit que tout va bien dans ce monde !
Il n’aura jamais écrit qu’un pur acte d’une grande auto satisfaction,
La poésie est un cri, c’est aussi une lumière qui vous éclaire,
Il faut savoir crier très fort pour préserver la lumière des hommes..."
L'auto-satisfaction ? Comme la masturbation pseudo-intellectuelle? Tu le fais mal.
Ou alors, tu aimes bien te coincer....les doigts dans la porte que tu refermes.
Eteins la lumière, tu verras que la nuit, on voit bien aussi. Il ne faut pas avoir peur du noir.
"
#6
Posté 09 septembre 2011 - 05:02
#7
Posté 09 septembre 2011 - 05:57
Baccala tu n'es qu'un crétin auto satisfait!
Hôôooo, ouiiii !
Héhéhé.
#8
Posté 11 septembre 2011 - 07:38
mais personnellement je décroche vite quand ça ne rime pas...
les idées sont bonnes mais je besoins de musique dans mes lectures...
C'est comme un tic d'obsessif compulsif
#9
Posté 11 septembre 2011 - 08:13
les rimes donnent des sens non voulus
#10
Posté 12 septembre 2011 - 02:03