*
La fraîcheur de la nuit
Ne peut étreindre
La lumière qui nous lie
La mort à jamais obscure
Ne saurait contraindre
l'élan de joie pure
déchirer l'image qui vous happe
Et survoler la déroute
La faille par où l'esprit s'échappe
Est sans doute
Enfant terne d'occident
Il faut quitter la mesure
Et fils de l'instant
Filer droit dans l'azur
A l'heure du dernier avertissement
Nous dansons dans l'imaginal.
*

Automne Deux mille onze
Débuté par captaim, oct. 13 2011 11:13
3 réponses à ce sujet
#1
Posté 13 octobre 2011 - 11:13
#2
Posté 14 octobre 2011 - 02:30
Belle transparence.
A vous.
hasia
#3
Posté 14 octobre 2011 - 12:40
l'imaginal! bien trouvé si je puis-je. dommage pour la matrice et la bileuse.... tu devrais être plus direct, c'est à peine si tu effleures ton sujet si imposant soit-il.... va pour ce cette fois-ci!
#4
Posté 14 octobre 2011 - 12:54
l'imaginal! bien trouvé si je puis-je. dommage pour la matrice et la bileuse.... tu devrais être plus direct, c'est à peine si tu effleures ton sujet si imposant soit-il.... va pour ce cette fois-ci!
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Imaginal, le mot est d'Henri Corbin
Bileuse:je vous l'accorde
Quand à ce sujet, qu'à peine j'effleure quel est -il ?
Respectueusement,
Captaim
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