Les éphémères printemps
Et les étés qui s'ensuivent,
Ne laisseront à nos adultères
Qu'une vaine amertume.
Mémoires si douces
De ces péchés bénins.
Du temps où, armés d'un bâton,
Tout était une cible,
Et, sans cruauté,
Nous assénions ces êtres d'à-coups.

Vent de jeunesse
Débuté par Julien-Pier langer, nov. 28 2011 06:24
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