l’alcool ne fait que raviver ton souvenir
que je tarde à oublier
par-dessus mon cœur inerte
le temps passe et mange la plaie
parfois je pleure les yeux clos tout au fond de moi
de peur de chagriner ton ombre
que je jette mille fois dans la fausse lumière de la vie
qui me rattrape et me fait son ombre
et me jette dans la fosse de l’abrutissement
où que j’aille
quoi que je dise
qui que je sois
je ne vois que toi
parfois je dors debout
pour que ma vue se trouble
vautrée dans mon verre vide
d’où que je revienne
de quel que lieu de quel que visage
de quelle qu'ivresse rouge ou noire
je ne rapporte que ton deuil

nuances du gris
Débuté par hot dog, déc. 20 2011 11:58
3 réponses à ce sujet
#1
Posté 20 décembre 2011 - 11:58
#2
Posté 20 décembre 2011 - 10:30
Une hantise, les silhouettes d’un passé … Il nous est si impossibles de les rayer, de les gommer … Elles sont tout notre univers parfois…
( mauvaise frappe jète au lieu de jette )
( mauvaise frappe jète au lieu de jette )
#3
Posté 20 décembre 2011 - 10:46
Une hantise, les silhouettes d’un passé … Il nous est si impossibles de les rayer, de les gommer … Elles sont tout notre univers parfois…
( mauvaise frappe jète au lieu de jette )
" Il nous est si impossibles de les rayer, de les gommer … "
( le "s" est de trop .), petite frappe.
#4
Posté 21 décembre 2011 - 08:27
merci pour ton commentaire et la correction.Une hantise, les silhouettes d’un passé … Il nous est si impossibles de les rayer, de les gommer … Elles sont tout notre univers parfois…
( mauvaise frappe jète au lieu de jette )