
GAUCHE, DROITE, GAUCHE, DROITE...
#1
Posté 21 février 2012 - 12:26
la nuée marche au pas,
regagnant l'empyrée
du délice supême,
l'illusion d'être aimée
par la voix qui claironne
que l'art du mensonge
est de porter bien haut
ce con qui fait l'autre
mais ne peut être soi...
#2
Posté 21 février 2012 - 07:17

#3
Posté 21 février 2012 - 08:32
Est-ce une raison pour se dandiner d'un pied sur l'autre pour ne pas avoir l'air con ?
Ingénu, poeut-être.

#4
Posté 21 février 2012 - 08:49
Ingénu, poeut-être.
Plutôt persister à croire en la connerie car lorsqu'elle nous habite, elle nous rend si vrai...
Bizarre comme impression.

#5
Posté 21 février 2012 - 09:05
Plutôt persister à croire en la connerie car lorsqu'elle nous habite, elle nous rend si vrai...
Bizarre comme impression.
Tu parles de con, et il n'y a plus personne.
C'est la honte, quoi.

#6
Posté 21 février 2012 - 09:12
Tu parles de con, et il n'y a plus personne.
C'est la honte, quoi.
Tu veux dire que les cons sont des fuyards ?
Où ? Ici ?
J'en connais qui ont des susceptibilités.


#7
Posté 22 février 2012 - 08:25
Tu veux dire que les cons sont des fuyards ?
Où ? Ici ?
J'en connais qui ont des susceptibilités.![]()
Les poètes sont menteurs, je crois, oui, et assez crédules pour croire à ce qu'ils écrivent.

#8
Posté 22 février 2012 - 12:20
Les poètes sont menteurs, je crois, oui, et assez crédules pour croire à ce qu'ils écrivent.
Feraient-ils de bons politiciens ?
Pour promettre la lune, ils sont assez bons.

#9
Posté 22 février 2012 - 12:25
Feraient-ils de bons politiciens ?
Pour promettre la lune, ils sont assez bons.
Ils sont cons, ce poètes...

#10
Posté 22 février 2012 - 12:27
Ils sont cons, ce poètes...
Mais cons, alors...

#11
Posté 22 février 2012 - 12:34
Mais cons, alors...
Et vous trouvez ça drôle !

#12
Posté 23 février 2012 - 06:09
Et vous trouvez ça drôle !
Quand la connerie devient drôle, tournerait-elle à l'absurde ?
- La connerie,
caractère de ce qui est contraire
à la raison et au bon sens
tout comme l'angélisme, d'ailleurs,
ne propose rien d'autre
que l'état de son imperfection absolue,
elle qui dans le même temps,
s'evertue à démontrer le contraire,
celui de l'être accompli, sans réserve aucune.
Devient-on crétin par la simple volonté
d'une conviction jubilatoire, en somme,
histoire de se singulariser,
sans plus de reflexion
que de faire chier autrui,
et ne pas rire de soi,
dans ce qui est propre à l'homme,
ou bien cette stupidité
à l'image d'une chronique,
ne s'obsèderait-elle pas, chaque jour,
à vouloir enculer la mouche
la même toujours, du moins le croit-on,
pour le désir simplet de l'immobilité,
à la difference de la seule ignorance
que l'on peut ouvrir au monde,
pour autant que face à elle,
le con et l'ange fassent oeuvre de silence.
Mais celui qui veut échapper à sa logique,
en cherchant la clarté,
tout au fond de lui-même
sera touché peut-être,
par la grâce de l'absurde...