J'ai jeté ce vieux frac au bouton qui me serre,
et je pends à ses basques l'ultime salut
où galons orgueilleux sans couleurs ni chahut
deviennent informes quand ils traînent par terre.
Sur un cintre accrochée, la froissure à pâtir
Des raideurs de cadavre aux rondeurs d'antimite,
Recompose le temps, ce passant dont j'imite
les respirations lentes. Il est l'heure de partir...

Il Est L'heure De Partir...
Débuté par lio..., sept. 10 2007 11:30
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